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Les tours de passe-p…ipeline néolibéraux

Les rois de la bourgeoisie capitaliste ne se contentent pas de voler nos forêts, de souiller nos lacs, ils gèrent tout notre territoire, toute notre propriété publique en despotes. Wall Street et son satellite canadien ne s’en tiennent pas seulement à lorgner le pétrole du Moyen Orient et d’Amérique du Sud : ils veulent se servir dans le territoire canadien quelles qu’en soient les conséquences, les dommages sur l’environnement. En cet Occident néolibéral où tout part de l’économie, de cette économie par et pour les riches, la priorité des priorités est devenue le pétrole, ce robinet qui ouvre la valve des dollars aux assoiffés d’argent capitalistes.

Des dommages collatéraux… peu leur en chaut. Seul importe le profit pour eux. Pourquoi se priver de faire fortune quand on est aussi propriétaires des gouvernements et de la pensée des habitants des régions à détruire ? « Busenus is Busenus ». Ainsi, la province canadienne néolibérale d’Alberta en est à détruire son territoire, ses forêts, son biotope par l’extraction du pétrole encrassé des sables bitumineux.

Les capitalistes pour augmenter leurs profits veulent maintenant distribuer leurs déjections au moyen d’un oléoduc, système plus économique que le transport par train, d’autant plus que ce transport doit se faire autrement et par des citernes plus coûteuses que celles utilisées jusqu’ici en catimini pendant que le bon peuple dormait.. En effet, l’exploitation de trains transportant du pétrole serait soumise à des normes très sévères. Il faudrait contrôler la vitesse, la réduire dans les zones habitées. Il y aurait un maximum de wagons et on exigerait les wagons les plus sécuritaires, avec trois parois. La Colombie-Britannique a eu l’intelligence de poser des conditions rigides au projet d’oléoduc Northern Gateway de la compagnie Enbridge sur son territoire. Alors, la bourgeoisie capitaliste s’est tournée vers l’est où tout est plus facile pour elle. Comme par hasard, ce pétrole essentiellement destiné aux États-Unis, ne passe pas par ce pays. Pourquoi ? Se pourrait-il que ce pays soit soucieux de protéger son environnement ?

Le pipeline canadien passe par l’Ontario en évitant le plus possible les grandes villes, mais dès que possible, le tuyau de la mort de l’écosystème quitte l’Ontario pour se lancer chez nous au Québec. Il passe par Montréal, frôle Trois-Rivières, longe le Saint-Laurent sur son côté nord pour ensuite le traverser et passer en Gaspésie pour se rendre à Saint-Jean dans la province canadienne du Nouveau-Brunswick ; un grand détour pour éviter de passer par le l’État américain du Maine. Pourquoi ? Cet État serait-il heureux de voir le tuyau de la mort traverser son territoire ? Cette combine vise à faire passer au Québec un des hydrocarbures les plus nocifs, celui de l’Alberta pour le faire raffiner à Saint-Jean, Nouveau-Brunswick. Pourquoi ne pas raffiner ce pétrole destiné surtout aux États-Unis dans la région d’Alberta ? À de rares exceptions près, les Américains prélèvent nos richesses naturelles au Québec comme le bois, le fer, et autres minéraux pour les transformer chez eux et nous les revendre ensuite à prix fort. Pourquoi agissent-ils autrement lorsqu’il s’agit de raffiner le pétrole le plus polluant au monde, celui de l’Alberta à qui nous ne devons rien ? Pourquoi venir menacer, agresser notre environnement, notre écosystème, notre biotope, nos vies pour quelque chose qui ne nous regarde en rien ?

Les sous-fifres néolibéraux de la bourgeoisie capitaliste qui nous dirigent au Québec ont commencé à conditionner les zombies à l’idée qu’il y allait de notre intérêt de collaborer au passage du pipeline canadien chez nous. « Nos » maires néolibéraux se sont prononcés en ce sens. Devons-nous leur faire confiance ? À Laval et à Montréal, ils étaient si corrompus, que même leurs remplaçants par intérim ont dû démissionner. On connaît leurs méthodes. S’ils veulent nous faire accepter un projet, ils tiennent un référendum. Si leur projet, la plupart du temps conçu dans les intérêts de la bourgeoisie capitaliste est rejeté, en pseudo bons démocrates ils disent accepter le résultat de la consultation. Quelques mois, quelques années plus tard, ils tiennent un nouveau référendum sur le même sujet… puis un autre et un autre, et un autre, avec moins de participants à chaque référendum jusqu’à ce qu’ils aient gain de cause. Le sous-fifre de Péladeau, Régis Labeaume, celui-là même qui a donné à Pierre-Karl et à la multimilliardaire LNH un amphithéâtre payé par les deniers publics, s’est mis en campagne pour faire accepter le passage de l’oléoduc, réclamant même un assouplissement des lois pour faciliter sa construction. Il est même allé à Lac Mégantic pour se donner une tribune et utiliser la situation pour promouvoir le remplacement du transport par train par le transport du liquide toxique par pipeline. Un agent de propagande (que les zombies appellent journaliste) y est même allé de son laïus pour dire que le transport de produits pétroliers par train était jusqu’à 40 fois plus risqué que le transport par pipeline. Il se basait sur les estimations « objectives » de la multinationale Ultramar. Il ajoutait que la mise en service de l’oléoduc de 240 km entre Lévis et Montréal, l’automne dernier, avait sonné le glas de l’« Ultratrain », qui transportait chaque semaine vers Montréal entre 30 000 et 40 000 barils d’essence, en provenance de la raffinerie d’Ultramar, près de Québec.

L’oligarchie néolibérale de Québec a craché 27 millions $ pour réparer l’emprise ferroviaire en Gaspésie, une somme surtout consacrée aux ponts. En décembre 2011, une étude de la firme Hatch Mott MacDonald avait établi à 93,5 millions $ le montant devant être consacré aux 325 kilomètres de rails entre Gaspé et Matapédia pour les rendre sécuritaires pendant 25 ans. Parce que, il faut bien comprendre que le « gouvernement » pour stimuler « l’économie » paie avec l’argent de nos impôts, non seulement les routes, mais aussi les chemins de fer qui ne profitent qu’à la bourgeoisie capitaliste. Mais cela ne suffit pas, il nous faudra maintenant contribuer à la construction de l’oléoduc directement ou… indirectement.

Le pipeline se limite au transport du pétrole, mais il ne règle pas le problème du transport des autres hydrocarbures. Il y a moins de quatre semaines, un camion transportant de l’asphalte liquide se renversait et se déversait en partie dans la rivière au Tonnerre, en Minganie sur la côte nord. La rivière au Tonnerre se déverse dans le Saint-Laurent, près de l’île d’Anticosti, dans une région où les baleines, les orques, les fous de Bassan et autres espèces menacées par la cupidité humaine bénéficient d’un espace non pollué. De ce déversement la dictature médiatique n’a pas dit mot. Sur la 138, tous savent que les camions qui roulent en fous ont priorité et les automobilistes doivent souvent se ranger sur l’accotement pour laisser le passage à ces serviteurs du Capital. Le transport d’hydrocarbures par rails, dans la mesure où il serait soumis à des conditions de sécurité rigoureuses, serait plus sécuritaire pour l’environnement, que son transport par camion ou par pipeline.

Mais il reste que tout transport d’hydrocarbures est à éviter. Il faut se méfier du projet de nouvel oléoduc de TransCanada PipeLines, qui doit traverser le fleuve Saint-Laurent. Tout déversement de pétrole sur les sources d’eau potable aurait des conséquences à long terme. Le pétrole provenant des sables bitumineux est plus corrosif et endommage davantage les conduits (dont ceux de l’oléoduc). Comme pour l’asphalte liquide, le pétrole brut « ne flotte pas, il coule » et en cas d’accident, il est très difficile de l’extraire. La bourgeoisie capitaliste et ses laquais néolibéraux ne savent que mentir. Il nous citeront l’exemple de Saint-Augustin-de-Desmaures, où le gazoduc TQM emprunte un tunnel sous-marin situé à 65 mètres de profondeur pour atteindre Saint-Nicolas. Pour faire circuler leur hydrocarbure entre les deux rives du Saint-Laurent, ils promettent de procéder de la même manière : « driller », faire un trou en dessous du fleuve et faire passer l’oléoduc « dedans ». Puisqu’ils admettent devoir prendre de telles mesures pour transporter leur liquide toxique, et que nous savons bien que ces cupides pour couper leurs dépenses, protéger ou augmenter leurs profits, vont, ou bien tricher, ou bien nous refiler la facture (il ne faut surtout pas compter sur les « gouvernements » qui sont à leur service), pourquoi accepterions-nous de les laisser passer chez nous ? Mieux, les raffineries de pétrole devraient être interdites au Québec comme cela se fait dans nombre d’États américains soucieux de protéger leur environnement et la santé de leurs citoyens.

Sur tout le corridor qu’empruntera ce pipeline, nous serons des étrangers. À Donnacona par exemple, le pipeline passera en plein milieu de terres agricoles. En certains endroits les capitalistes s’engagent à remettre les terrains tels qu’ils étaient sitôt les travaux terminés. Il faut être bien naïf pour les croire, naïfs aussi de croire qu’ils se contenteront d’exproprier trois mètres de chaque côté du tuyau. Sur toute cette longueur, personne ne pourra construire, personne ne pourra établir d’entreprise, les terrains perdront leur valeur. Toutes ces expropriations nuiront aux Québécois pour permettre à un oléoduc étranger, canadien, de se rendre au terminal Canaport, à Saint-Jean au Nouveau Brunswick, d’où du pétrole pourra être expédié à l’étranger (aux États-Unis surtout) à bord de pétroliers qui risqueront à leur tour de tuer l’écosystème de la côte est de l’Atlantique.

Tout cela sous la bénédiction de l’occupant néolibéral canadien sous couvert de sa façade, l’Office national de l’énergie. Le ministre canadien des Ressources naturelles, larbin de Wall Street et consorts, Joe Oliver, se réjouit déjà de la confirmation du projet. Ce nationaliste canadien voit d’un bon œil que des raffineries canadiennes puissent traiter beaucoup plus de pétrole canadien. Il estime qu’un tel projet permet d’améliorer la sécurité énergétique de son pays, le Canada, qui ainsi sera moins dépendant du pétrole étranger. Le premier ministre néolibéral du Nouveau-Brunswick y voit une occasion de créer des emplois, et d’enrichir les coffres de son gouvernement. TransCanada enfin, dans un élan de démagogie sans frein, promet de consulter toutes les personnes et les collectivités touchées par son projet d’oléoduc. Et bla-bla-bla.

TransCanada estime que les livraisons de pétrole commenceront en 2017 au Québec, et en 2018 au Nouveau-Brunswick. Le pétrole sera livré un peu à Montréal (livraison qui peut se faire facilement par train), un peu à Québec (livraison qui peut se faire aussi par train) et beaucoup à Saint-Jean au Nouveau-Brunswick. Les dirigeants capitalistes de TransCanada et leurs lobbyistes ont fait le tour des « élus » pour leur présenter le projet. L’ex-ADQ (Parti de droite), appelée maintenant Coalition avenir Québec (CAQ) néolibérale n’a pas été difficile à convaincre. Avec toute l’hypocrisie dont elle est capable, elle a rapidement exprimé son appui pour le projet de TransCanada, à condition qu’il « passe toutes les étapes nécessaires » pour en assurer la sécurité ainsi que le respect de l’environnement. La dictature médiatique poursuit son travail de conditionnement de l’élément zombie en soupesant les mérites respectifs du train et du pipeline pour le transport du pétrole. La vraie question à poser est pourquoi devrions-nous accepter que tout ce pétrole sale extrait des sables bitumineux d’Alberta et qui ne nous est pas destiné, charcute notre sol ?

Seul Québec solidaire, encore trop petit pour être acheté, dépeint la réalité telle qu’elle est. Ce parti centriste, prévient qu’il s’agit d’un projet qui n’est pas destiné à l’activité économique du Québec, mais bien à l’exportation de l’Alberta (plus près du Pacifique que de l’Atlantique) vers ses marchés mondiaux, plus particulièrement les États-Unis. Il doute que le projet puisse créer des emplois permanents au Québec, et craint que seule l’industrie de la construction puisse en bénéficier, mais pour un temps limité. Ajoutons que le gros des sommes payées ira aux entrepreneurs néolibéraux que nous voyons parader à la commission Charbonneau et à leur machinerie.

Le PQ (Parti québécois) en tête de l’oligarchie néolibérale de Québec (PQ, PLQ, CAQ) dirigée par Hippolyne Marois, garde le silence. Le PQ, parti faux frère du progrès qui se prétend l’agent du changement politique au Québec s’était présenté lors de la dernière campagne électorale, comme le parti qui misait sur le développement des énergies vertes. Il garde le silence, parce qu’il ne sait pas encore comment il va expliquer son prochain virage de capot. Ses associés néolibéraux de la CAQ et du PLQ (Parti libéral du Québec) font pression sur lui (comme s’ils ne savaient pas qu’il finira, en emberlificoteur, par appuyer le projet de ses maîtres comme il l’a fait lors de la dernière grève de la construction) pour qu’il présente une loi pour concrétiser le passage de l’oléoduc de TransCanada PipeLines au Québec. Et les voici qui chantent la ritournelle des retombées économiques pour le Québec, des centaines, voire des milliers d’emplois qui tomberont du ciel lors de la construction de ce pipeline étranger. Mensonge néolibéral évidemment ! La réalité est, que le Québec n’est qu’une « voie de passage » pour le pétrole « sale » de l’Alberta vers ses marchés mondiaux dans le projet d’oléoduc de TransCanada PipeLines qui représente bien peu de bénéfices pour nous, québécois ! Au mieux, il apportera un peu de vigueur à l’emploi dans la construction, qui se porte déjà très bien.

Hippolyne Marois est pathétique à voir. En plus d’avoir parlé de favoriser les énergies vertes lors de la dernière élection, elle a parlé aussi de gouvernance souverainiste. La chafouine est aussi très tentée d’appuyer le projet canadien au détriment de l’écosystème et des intérêts du peuple québécois pour profiter en tant que colonisée du Canada des retombées de la péréquation canadienne augmentée par l’exploitation du pétrole albertain. Cette boniche de la bourgeoisie capitaliste ne fait pas plus que ses associés laquais néolibéraux de la CAQ et du PLQ pour favoriser l’indépendance économique du Québec. Elle préfère maintenir le Québec à la remorque du Canada plutôt que de favoriser pour lui un développement économique dynamique, indépendant. Évidemment, ce « gouvernement » prétend qu’il tiendra compte des doléances du bon peuple... L’oligarchie de l’Assemblée néolibérale du Québec qui n’a pas encore réussi à nous enfoncer dans la gorge son projet d’exploitation des gaz de schiste, risque de manœuvrer avec plus de perfidie pour mettre en place le pipeline tant désiré par la bourgeoisie capitaliste.

Comment imaginer que la bourgeoisie capitaliste ne parviendra pas à ses fins quand on sait qu’elle contrôle les « gouvernements » ainsi que la pensée de 90 % d’entre nous ?

Il faut retenir en effet, que la seule vraie responsable des agressions actuelles est la bourgeoisie capitaliste. Les politiciens, les « gouvernements » ne sont que ses laquais zélés.

Michel Rolland

»» http://www.lavenirduquebec.org/les-tours-de-passe-pipeline-neoliberaux/

Écoutons ce qu’ont à dire les Cowboys Fringants, du Québec moderne dominé par les néolibéraux :

http://www.youtube.com/watch?v=cHMe_JHvedE

Sources de la dictature médiatique (attention à l’enrobage…) :

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201308/02/01-4676652-transcanada-quebec-sur-un-terrain-glissant.php

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201308/02/01-4676652-transcanada-quebec-sur-un-terrain-glissant.php

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201308/04/01-4676967-projet-doleoduc-quebec-solidaire-en-desaccord.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_environnement_263_accueil_POS1

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201308/03/01-4676823-liberaux-et-caquistes-appuient-le-projet-doleoduc.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4676967_article_POS1

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201308/03/01-4676823-l (...)

http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/384322/ (...)

http://www.ledevoir.com/politique/canada/384373/harper-promet-un-examen-inde (...)

http://fr-ca.finance.yahoo.com/actualites/projet-dol%C3%A9oduc-dans-lest-du-canada-une-annonce-010100958.html

http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201307/29/01-4675242-transport-de-petrole-un-oleoduc-pourrait-passer-par-la-rive-nord.php

http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201307/10/01-4669681-trans-canada-presente-son-projet-doleoduc.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201307/10/01-4669684-transport-petrolier-lest-du-quebec-penche-pour-le-rail.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/201307/11/01-4669994-lac-megantic-labeaume-affirme-son-penchant-pour-les-oleoducs.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4669684_article_POS4

http://www.lapresse.ca/actualites/dossiers/tragedie-a-lac-megantic/201307/07/01-4668583-transport-de-produits-petroliers-40-fois-plus-de-risques-par-train-que-par-pipeline.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4669994_article_POS2


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Chroniques de GAZA 2001-2011
Christophe OBERLIN
L’auteur : Christophe OBERLIN est né en 1952. Chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris, il enseigne l’anatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à l’étranger. Parallèlement à son travail hospitalier et universitaire, il participe depuis 30 ans à des activités de chirurgie humanitaire et d’enseignement en Afrique sub-saharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Depuis 2001, il dirige (…)
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"Il y a beaucoup d’ignorance sur ce qui se passe à Cuba et on ne veut jamais rien leur reconnaître. Si d’autres avaient fait ce que Cuba a fait [pour lutter contre le SIDA], ils seraient admirés par le monde entier."

Peggy McEvoy
représentante de UN-AIDS à Cuba de 1996 à 2001

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