Nous en serions presque à lui préférer un dictateur éclairé.
Oh, non, pas l’homme providentiel, encore !
Seule peut nous libérer la révolte des gueux.
Ca me plaît mieux. Quoique sur le plan pratique, on observe avec quelque scepticisme le déroulement (et l’issue !) des printemps et autres révolutions colorées.