Auteur Komla KPOGLI

Message à l’intention de la FIDH et ses ailes marchantes.

Komla KPOGLI
Le président GBAGBO livré à la CPI : le peuple noir ne reculera pas. Dans une déclaration datée du 1er décembre 2011, la FIDH et ses ailes marchantes se félicitent du "transfèrement de Laurent Gbagbo à la CPI". Dans leur éternelle rhétorique affichée comme impartiale et objective, ces ONG qui défendent tout sauf les droits du peuple noir à lutter contre toute forme de domination, de soumission collective et d’exploitation établies souvent à la suite des guerres d’agression, appellent, (…)

Libye : Le terrorisme occidental a encore frappé.

Komla KPOGLI
Au final, n’est-il pas un acte héroïque de mourir en résistant que vivre à genou devant des maîtres qui n’en sont pas ? Plutôt mourir et rejoindre Olympio, Nasser, Nkrumah, Sékou Touré, Lumumba, Sankara, Nyerere, Biko, Malcolm, King...que vivre sous la férule des terroristes comme Obama, Sarkozy et Cameron et leurs chiens de chasse. Se faire capturer et livrer à une parodie de justice par ce trio historiquement insignifiant aurait été le plus insoutenable des affronts que Kadhafi aurait eu à (…)

Alpha Blondy : après allez vous-en, merci l’armée française !

Komla KPOGLI
Sous d’autres cieux, les Rasta sont restés fidèles à la philosophie d’opposition à « Babylone ». Sous nos cieux, il en est autrement. Ici, les Rasta sont des alliés de Babylone. Ils prônent la "réconciliation" avec Babylone. Ils blanchissent Babylone de ses crimes et veulent que le peuple s’y installe durablement et continue à y mourir en masse. Leurs petites "fesses" individuelles d’abord et avant tout ! L’Afrique est vraiment malade, y compris de ces Rasta. Que c’est (…)

Cela sert-il à quelque chose de mourir pour les africains ?

Komla KPOGLI
Cette question aussi abrupte et provocante qu’elle puisse paraître mérite d’être posée en ce moment où l’un des derniers résistants - certes avec ses faiblesses et ses contradictions - en la personne du président Laurent Gbagbo est entre les mains des ennemis de l’Afrique. Sa capture et sa détention depuis lors, par ceux qui n’ont jamais voulu voir l’Afrique jouer un autre rôle en dehors de cette terre pourvoyeuse de matières premières quasi-gratuitement aux pays industrialisés qui lui (…)

La France a toujours soutenu les plus grands dictateurs en Afrique.

Komla KPOGLI
Le journal Lynx.info et Komla Kpogli (Secrétaire Général de la J.U.D.A) échangent sur l’Afrique et la Côte d’ivoire. Lynx.info : Bonjour Monsieur Kpogli ! Finalement la France revient cette fois-ci de force dans son pré-carré avec la Côte d’Ivoire. C’est ca aussi votre avis Komla Kpogli ? Komla KPOGLI, S.G de la Jeunesse Unie pour la Démocratie en Afrique Komla Kpogli : La France n’est jamais partie d’Afrique depuis qu’elle y a mis les pieds. Elle ne partira pas d’Afrique aussi (…)

Libye : Les bombardements des Occidentaux et nous.

Komla KPOGLI
Libye : Les bombardements des Occidentaux et nous. par corojoh Analyse de Komla KPOGLI, Secrétaire Général de La Jeunesse Unie pour la Démocratie en Afrique (J.U.D.A) Web. http://lajuda.blogspot.com

Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo capturé par la France, Sarkozy et ses amis tentent de réécrire les faits.

Komla KPOGLI
A première vue, il y a quelque chose d’incompréhensible voire de pathologique dans l’attitude de la France après que ses forces spéciales aient capturé le président Laurent Gbagbo le lundi 11 avril 2011. La France avait dit se battre aux côtés des criminels Guillaume Soro et Issiaka Ouattara alias Wattao pour rétablir la démocratie et débarrasser le peuple de Côte d’Ivoire d’un « dictateur » devenu fou et accompagné dans sa folie par un groupe de « desperado » utilisant des « armes lourdes » (…)

Que les nègres qui ont applaudi le bombardement de la Libye soient heureux de voir la Côte d’Ivoire bombardée.

Komla KPOGLI
En Côte d’Ivoire, ce 04 avril 2011, Sarkozy et sa Licorne ont bombardé le palais présidentiel, la résidence de Gbagbo et les camps d’Agban et d’Akouédo ainsi que de nombreuses cibles civiles. L’ONU les a accompagnés dans cette opération. Il y a plusieurs africains qui s’indignent de cette agression militaire qui manifestement rappelle les temps de la conquête coloniale et de la pacification. Curieusement ces indignés ont été silencieux voire heureux de voir la Libye bombardée par la même (…)

Libye : Obama, le prix Nobel de la paix « des guerres justes et humanitaires ».

Komla KPOGLI
A l’avènement de Barack Obama au pouvoir, des milliards de personnes sur la terre avaient manifesté leur optimisme. Parmi celles-ci, c’est peu dire qu’il y a eu la quasi-totalité des africains. Tous étaient persuadés que la couleur de peau du nouveau président augurait un changement de la politique internationale. Il faut en convenir et insister qu’ils n’étaient pas les seuls. Les quelques rares voix qui avaient émis des réserves furent sévèrement critiquées et taxées d’antiaméricanisme (…)
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Agression de la Libye : les Occidentaux n’ont jamais milité pour la liberté des peuples tiers.

Komla KPOGLI
Conscients de la reprise par les forces gouvernementales libyennes des villes occupées (1) par la rébellion, les Occidentaux ont décidé d’entrer en action. Ils proclament vouloir protéger les populations civiles, mais tout le monde sait que le but de cette invasion est bel et bien ailleurs. Il s’agit clairement et nettement d’empêcher le pouvoir libyen de reprendre la production pétrolière en main. Les rebelles l’offrant depuis un mois quasi-gratuitement à leurs mentors et soutiens (…)

Libye : vers une nouvelle "guerre juste et humanitaire" pour s’emparer des richesses d’un peuple.

Komla KPOGLI
Profitant du soulèvement des peuples au Maghreb, Les Etats-Unis d’Amérique et leurs cousins d’Europe veulent en finir avec Mouammar Kadhafi et se partager définitivement la dépouille d’une Libye désormais conquise. Pour ce faire, ils ont recours à une propagande intensive qui rappelle celle utilisée contre l’ex-tyran irakien Saddam Hussein[1]. Pour mémoire, les médias occidentaux avaient quasi-unanimement repris l’antienne bushienne à propos des armes de destruction massive qu’aurait détenu (…)