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Une politique des pôles d’excellence pour contribuer à réduire les distances entre les rives Sud et Nord de la Méditerranée

« La seule voie qui offre quelque espoir d’un avenir meilleur pour toute l’humanité est celle de la coopération et du partenariat » - Kofi Annan, extrait d’un discours à l’ Assemblée générale de l’ONU - 24 Septembre 2001

L’Union pour la méditerranée est perçue comme une opportunité historique, par de nombreux experts, avec une ferme conviction que « La méditerranée peut être une source de croissance durable pour l’économie mondiale… qu’un grand dessein régional l’associe à l’Europe… sur un modèle nouveau dépassant les approches classiques d’échanges Nord-Sud fondées sur la domination, la délocalisation et le partage inégal ».(1)

Un nouveau modèle d’échange Nord-Sud

Il est logique de penser qu’un partenariat harmonieux et durable est assurément celui qui se construit sur une base où chaque concerné a conscience qu’il est parti prenante d’un édifice où tous les acteurs sont gagnant -gagnant. Une association saine est naturellement celle où le meilleur est partagé par tous.

Pourtant l’affirmation par les experts occidentaux que « l’avenir des pays du sud de la Méditerranée dépend de l’Europe »(2), doit nécessairement être rééquilibrée par une vision partagée en ce sens que le devenir économico-social des Etats européens est lié à ceux du sud méditerranéen. Comme l’illustre cette carte du projet d’union pour la Méditerranée :

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