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Tunisie : Salafistes, fossoyeurs de la République

Ces salafistes obscurantistes décrédibilisent notre culture islamique et notre passé glorieux multiculturel. Sachez que ces pourris sont à la solde du Mossad et manipulés par des intérêts golfiques en cheville avec Israël.

Nous apprenons que les barbus ont franchi un nouveau palier de rancoeur et de haine en s’attaquant aux symboles de l’institution éducative qui a toujours été préservée, jusque-là , contre tout dérapage idéologique ou religieux. Au cours de la nuit de mardi à mercredi 4/04/2012, un directeur de collège au Kef a eu sa voiture incendiée par des salafistes pour avoir refusé à des élèves portant le niqab l’accès aux classes .

Nous exprimons notre solidarité envers un fonctionnaire de la République qui n’a fait que son devoir. Cet acte horrible dénote que les ennemis de la République sont des incultes, ennemis du savoir, de la création et de l’intelligence. Résistons, Résistons, Résistons, et unissons-nous contre ces barbares intolérants et arriérés. Cette barbarie doit être condamnée par le pouvoir et sans délai, autrement, nous le considérons comme complice. Espérons que le peuple se réveille et comprenne les objectifs réels de ces énergumènes : la division et la haine pour affaiblir l’Etat, démoraliser le peuple et instaurer un pouvoir théocratique, c’est-à -dire confisquer toutes les libertés et faire des femmes des esclaves et des hommes des abrutis. C’est ouvrir la porte à une nouvelle colonisation qui aura pour but d’éradiquer l’Islam.

Ces salafistes obscurantistes décrédibilisent notre culture islamique et notre passé glorieux multiculturel. Sachez que ces pourris sont à la solde du Mossad et manipulés par des intérêts golfiques en cheville avec Israël.

Si le pouvoir politique refuse de prendre ses responsabilités pour endiguer le danger salafiste avant qu’il ne soit trop tard, c’est à l’Institution Militaire, garante de la République et de ses institutions, de prendre l’initiative pour mettre fin à cet état de gabegie et de guerre civile unilatérale.

La société civile a le devoir de faire face à ce phénomène de radicalisation et de l’extrémisme religieux cherchant à anéantir le savoir et la création.

Mustapha STAMBOULI, Républicain

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« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »

John Swinton, célèbre journaliste, le 25 septembre 1880, lors d’un banquet à New York quand on lui propose de porter un toast à la liberté de la presse

(Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)

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