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Déclaration de Noam Chomsky solidaire de l’occupation de Wall Street

via La Revue des Ressources http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article2132

Nul ne peut être insensible au fait que des esprits avisés pensent de la démonstration populaire soudaine à Wallstreet, et ailleurs aux USA, où les acteurs populaires du mouvement Occupy Wall Street [1] s’efforcent d’attirer l’attention sur le problème vital sans précédent causé par la spéculation financière gagée sur la monnaie et les jeux du crédit, dans leur pays et dans ceux qui prêtent pour cautionner à l’intérieur et spéculer à l’extérieur (telle l’appropriation des patrimoines immobiliers publics), compte tenu de l’annonce ouvrable du retour exponentiel de la crise internationale de la monnaie et des banques contre les populations du monde, et notamment en Europe où la mémoire convenue voulait qu’à se vivre comme des privilégiés ont eut oublié d’ouvrir les yeux sur les conséquences de la vectorisation néolibérale de l’économie de la valeur, quand l’économie de la valeur de la production serait prescrite et les ressources du service public ne seraient que souvenir. [ ... ]*

Bref, ce qui se passe aux USA nous parle de ce qui se passe en Europe, a priori sachant le mouvement des "indignés", qui empruntent leur nom au petit livre de Stéphane Hessel réclamant la restauration des droits et du pacte politique avec les sociétés [2], s’est révélé en Espagne au printemps dernier, et cela nous regarde au-delà . Personne ne peut le dire plus lapidaire et clairement que monsieur le linguiste et fort en maths : Noam Chomsky.

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Venezuela – Chronique d’une déstabilisation
Maurice LEMOINE
A la mort de Chávez, et afin de neutraliser définitivement la « révolution bolivarienne », les secteurs radicaux de l’opposition ont entrepris d’empêcher à n’importe quel prix son successeur Maduro, bien qu’élu démocratiquement, de consolider son pouvoir. Se référant de façon subliminale aux « révolutions de couleur », jouissant d’un fort appui international, ils ont lancé de violentes offensives de guérilla urbaine en 2014 et 2017 (45 et 125 morts), dont une partie importante des victimes, (…)
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« (...) on a accusé les communistes de vouloir abolir la patrie, la nationalité. Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ravir ce qu’ils n’ont pas. Comme le prolétariat de chaque pays doit en premier lieu conquérir le pouvoir politique, s’ériger en classe dirigeante de la nation, devenir lui-même la nation, il est encore par là national, quoique nullement au sens bourgeois du mot. »

Karl Marx, Friedrich Engels
Manifeste du Parti Communiste (1848)

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