Le projet de l’Allemagne d’Hitler pour l’ancienne capitale des tsars était de faire mourir ses habitants de faim et raser complètement cette ville admirable pour qu’il n’en reste pas pierre sur pierre.
Ce beau projet humaniste (déjà envisagé par notre cher Napoléon) est partagé au moins depuis 1945 (où il a failli être mis en action) par nos amis, courageux mais pas téméraires, d’outre Manche, d’outre Atlantique et leurs vassaux.
Je comprends l’inquiétude des États Unis, avec toutes ces bases militaires russes installées à proximité de leurs frontières.
Quant aux retraites et aux progrès sociaux acquis après 1945, le dépit et la sourde rage des nantis de l’époque(dont certains, parfois récemment enrichis, avaient alors intérêt à faire profil bas) a été religieusement transmis à leurs descendants.