Parmi les personnalités pré-sélectionnées pour la cuvée 2015 du prix de l’humour politique, citons :
François Hollande : « Il n’y a rien de plus terrible pour un soldat déjà anonyme que de mourir inconnu ».
François Fillon : « Avant de juger les propositions d’Emmanuel Macron, je vais attendre qu’elles soient abandonnées ».
Brice Hortefeux : « Sarkozy a une règle : ne pas s’en prendre aux autres ».
Patrick Mennucci : « Guerini dit qu’il n’est ni de droite ni de gauche ; alors il est forcément du Milieu ».
Pas mal ! Au Grand Soir, on aurait sélectionné aussi : « Mon adversaire c’est la finance » (Hollande), « J’aime l’entreprise » (Valls), « Je souffre de phobie administrative » (Thévenoud), « Les yeux dans les yeux, je n’ai pas, je n’ai jamais eu de compte en Suisse » (Cahuzac), « Reconnaissez-moi deux neurones » (Sarkozy), « Ménard, c’est Jeanne d’Arc » (Dupont-Aignan).
Théophraste R.