RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher
2004-01-29

Paris - Conf-débat : média et traitement de la contestation et des classes populaires

Attac Paris 11e et Attac Paris 12e organisent une conférence-débat le jeudi 29 janvier à 20h au Théâtre Traversière, 15 rue Traversière, Paris 12e, métro Gare de Lyon.

Serge Halimi, journaliste au Monde Diplomatique et auteur des Nouveaux Chiens de garde, interviendra sur le traitement médiatique de la contestation.

François Ruffin, rédacteur en chef du journal alternatif régional Fakir et auteur des Petits soldats du journalisme, interviendra sur le traitement médiatique des classes populaires.

Attac, dans sa démarche d’éducation populaire, s’intéresse depuis sa création aux logiques économiques néolibérales actuelles : course à la rentabilité, hyperconcentration des entreprises, compétition généralisée, rôle prépondérant des actionnaires.

Les médias sont à la fois acteurs de ce système économique et principale source d’information sur celui-ci : étant juges et parties, ce qu’ils nous transmettent ne peut être neutre. D’autres facteurs, tels le milieu social, concourrent à modeler le discours médiatique. La façon dont les médias rendent compte des mouvements contestataires, ou la façon dont ils évoquent (ou taisent) l’existence des classes populaires en fournit l’illustration.

Vu sur Indy Paris ( auteur Seb )

URL de cet article 1302
   
Propagande impériale & guerre financière contre le terrorisme
Ibrahim WARDE
« Après chaque attentat, des experts autoproclamés dénoncent les réseaux de financement du terrorisme. Les enquêtes ont beau démontrer que ces attentats nécessitent en réalité très peu de fonds, pour les idéologues endurcis qui forment les bataillons des "guerriers de la finance", l’absence de preuve ne signifie rien : il faut multiplier les attaques contre l’argent caché des terroristes. Or les frappes financières, si elles sont le plus souvent sans effets réels sur leurs (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.