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2007-04-14

Nuevo Printemps Bolivarien de Paris : célébration des cinq ans de l’échec du coup d’état contre le Président Hugo Chavez.



Nuevo Printemp Bolivarien à Paris !


Le Cercle Bolivarien de Paris est heureux de vous inviter au : Nuevo Printemps Bolivarien de Paris Célébration des cinq ans de l’échec du coup d’état contre le Président Hugo Chavezsamedi 14 avril 2007à partir de 13h00 - entrée libre Salle Olympe de Gouges, 15 rue Merlin - 75011 Paris Métro : Père Lachaise - Bus : 46, 56, 61, 69.

- Films vénézuéliens, conférence d’Eva Golinger, exposition, ...

 Plus d’ infos : http://cbparis.over-blog.com




Une ère nouvelle s’ouvre au Venezuela, par Salim Lamrani.






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La Tiers-Mondialisation de la planète - Bernard Conte
La Tiers-Mondialisation de la planète, c’est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l’ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l’état du Tiers-monde d’avant les « miracles ». On peut diversement décrire ce phénomène : « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »… Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre (…)
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Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’État - et c’est pareil dans les autres pays européens - s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc, l’État (c’est-à -dire nous tous !) s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêts, et cela rend évidemment tout beaucoup plus cher.

On ne l’a dit pas clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la Banque centrale, ce qui n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104, disait « Les États ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissements publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait eu une révolution.

Ce hold-up scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an et nous ruine année après année. Ce sujet devrait être au coeur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.

Etienne Chouard

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