@ Daniel Besson
Désormais le bocage EST, avec ses sources, ses salamandres, ses herbes précieuses, ses odeurs de belle nature. C’est lui qu’il faut protéger, c’est un patrimoine pour TOUS (sauf ceux qui préfèrent le béton bien entendu).
Les EXPLOITEURS agricoles qui sont partis, qu’ils ne reviennent surtout pas, il faudra bien le leur montrer. Quant à ceux qui sont là maintenant, et qui ont intelligemment mis en valeur en respectant la nature, s’ils veulent rester, qu’ils restent. Les notaires, DEHORS ! Les huissiers aussi, et à plus forte raison les forces du DÉSORDRE. Je remets en cause le droit "imprescriptible" de propriété ? Ce n’est pas d’hier. Je propose la disparition TOTALE du capitalisme ? Ah oui, certainement.
Il faut se souvenir de ce que nous disait toujours Michel Tarin, hélas disparu :
« Nous sommes des passeurs, la terre nous la cultivons pour nos enfants »
Il n’y a pas de propriété, rien que la Terre, dont Saint Exupéry disait que ce sont nos enfants qui nous la prêtent.
Je pense que là-dessus Assimbonanga (dont je suis désolé d’avoir écorché le nom) sera d’accord avec moi. Peut-être nous rencontrerons-nous par hasard, à l’occasion du don de livres au Taslu (la Rolandière). Ou au rassemblement des 7 et 8 juillet, où comme d’habitude je serai à l’entrée. Même endroit que l’an dernier, en principe.