Un des auteurs du livre très politique sur le FN publié avec le soutien financier des lecteurs du grand Soir révèle qu’à ce jour, une librairie les a invités à un débat dans ses locaux (voir rubrique « Agenda » ci-dessous). « D’autres librairies, connues des auteurs ont refusé au prétexte incroyable qu’il faudrait aussi, pour équilibrer, débattre avec le FN. Toujours le même refrain : cinq minutes pour les juifs, cinq pour Anne Franck... cinq pour le rescapé des camps, cinq pour Faurisson...
Ces librairies ne désapprouvent pas le livre, mais elles sont prudentes et commerçantes dans une France où les librairies vont mal et où, l’électorat du FN augmentant, son lectorat potentiel (à ne pas perdre) augmente aussi ».
Et l’auteur de conclure que « Marine Le Pen amène le pire » se vendra moins bien qu’un autre livre à écrire : « Les amours tumultueuses de Marine Le Pen et de Louis Aliot ».
Je suggère aussi : « La chute de Marine dans sa piscine. Accident ou attentat ? »
Théophraste R.
PS. Insinuer que la frilosité des librairies peut aussi être due à la crainte de troubles, violences et dégâts, serait faire croire que les châtelains de Montretout disposent de hordes rasées, tatouées et non encartées.