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Le Beaujacquot nouveau est arrivé...

Il n’en peut plus de ses déclarations fracassantes, le Grand Jacquot. Après ses accents altermondialistes pour avoir été, et il récidive, l’ardent défenseur d’une taxe sur les transactions financières, ce qui a médusé ses plus fidèles alliés, le voilà maintenant qu’il s’en prend à Bolkestein. Le nouveau champion de l’Europe Sociale n’en est plus à une contradiction près. Il ment ouvertement devant ses homologues européens en prétendant que cette directive est retirée alors qu’elle sera seulement révisée, puisque la Commission Européenne ne renoncera pas « au principe du pays d’origine » et il le sait fort bien. Il appuie la manifestation de Bruxelles « digne et déterminée » et les syndicats de « travailleurs justement indignés » car la directive a un « caractère outrancier ». On a cru un instant qu’il adhérerait à ATTAC, mais maintenant il se dirigerait plus volontiers vers la CGT.

Blair ne s’y est pas trompé en considérant que le discours relève de la politique intérieure française. Même Barroso est confus et ne sais plus trop quoi dire !

Alors, s’il veut une mondialisation contrôlée, humanisée et maîtrisée, c’est facile. Il ne lui reste plus qu’à faire campagne pour le NON !

Bon, dis donc Jacquot, t’as pas un peu fini de nous prendre pour des cons ?

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Chroniques de GAZA 2001-2011
Christophe OBERLIN
L’auteur : Christophe OBERLIN est né en 1952. Chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris, il enseigne l’anatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à l’étranger. Parallèlement à son travail hospitalier et universitaire, il participe depuis 30 ans à des activités de chirurgie humanitaire et d’enseignement en Afrique sub-saharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Depuis 2001, il dirige (…)
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(...) quelqu’un a dit il y a vingt ans : "vous pouvez croire tout ce qu’on raconte sur cet homme, sauf qu’il est mort".

(...) Ce lieu sera pour toujours un témoignage de lutte, un appel à l’humanisme. Il sera aussi un hommage permanent à une génération qui voulait transformer le monde, et à l’esprit rebelle et inventif d’un artiste qui contribua à forger cette génération et en même temps en est un de ses symboles les plus authentiques.

Les années 60 étaient bien plus qu’une période dans un siècle qui touche à sa fin. Avant toute chose, elles ont été une attitude face à la vie qui a profondément influencé la culture, la société et la politique, et a qui a traversé toutes les frontières. Un élan novateur s’est levé, victorieux, pour submerger toute la décennie, mais il était né bien avant cette époque et ne s’est pas arrêté depuis. (...)

Avec une animosité obstinée, certains dénigrent encore cette époque - ceux qui savent que pour tuer l’histoire, il faut d’abord lui arracher le moment le plus lumineux et le plus prometteur. C’est ainsi que sont les choses, et c’est ainsi qu’elles ont toujours été : pour ou contre les années 60.

Ricardo Alarcon,
président de l’Assemblée Nationale de Cuba
Allocution lors de l’inauguration de la statue de John Lennon à la Havane, Décembre 2000

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