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Le A / H1N1, la pointe de l’iceberg

Sommes-nous entrain de laisser une industrie prendre possession de notre santé via les vaccins ?

Il y a quelques mois, la grippe pandémique H1N1 nous était annoncée comme dévastatrice. La mort nous attendait tous et chacun. D’abord il y a eu vent de panique télévisuelle et médicale, mais comme rien ne se produisait, il y a eu questionnement et réflexion sur cette grippe et sur le vaccin qui en découlerait. J’aimerais faire remarquer que ce genre de pandémie annoncée, ne s’est pas produite depuis 1918. Il faut aussi se rappeler que c’était à la fin de la 1ère guerre mondiale, à un moment de l’histoire ou bien des gens vivaient dans la pauvreté, dans des conditions insalubres et ne mangeaient pas à leur faim. Des conditions favorable aux pandémies

C’est Marc Gentilini, ancien directeur de la Croix rouge, qui a le mieux défini cette pandémie annoncée : C’est une pandémie de l’indécense a t-il dit lors d’une entrevue récente.Effectivement, il a raison. Nous sommes devenus les pantins d’une désinformation et d’un manque total de rigueur de la part d’une industrie et des gouvernements qui s’éloignent totalement des vrais priorités de santé de part le monde.

Plusieurs journalistes pensent comme lui et des articles émergent partout dans le monde, jusque dans les revues et les journaux les plus prestigieux ou les plus sérieux. Le débat est maintenant ouvert. Du presque jamais vu. Comme société nous en bénéficions déjà  ; le concept de Vaccin-Dieu, sorte de foi aveugle qui méprise ceux et celles qui n’ont pas la foi vaccinale, s’effrite un peu plus à tous les jours. Nous voyons l’industrie et les profits qui se cachent dans le vaccin. C’est extrêmement important, car de l’année 2004 à 2007 , pendant que j’effectuais ma recherche pour mon documentaire SILENCE, ON VACCINE , trois vaccins ont été ajouté au calendrier des enfants et un vaccin au calendrier des adolescentes. Aucun débat social d’envergure n’a vu le jour.
Dans une certaine forme de silence, on a dit oui aux vaccins suivants :

 ROTAVIRUS /Contre la diarhrée. Donné aux enfants. Maladie bénigne.
 VARILIX /Contre la varicelle. Donné aux enfants. Maladie bénigne.
 GARDASIL/Cancer du col de l’utérus : Donné aux jeunes filles.
 FLURIVIN /Contre la grippe, Donné aux enfants afin de protéger les adultes.
 L’HÉPATITE B - AUX NOURISSONS (en étude) / Maladie qui se transmet sexuellement.

Alors, quand le milieu de la santé a découvert l’existence de mon documentaire, il y a eu empressement pour dire haut et fort, que celui-ci était un tissus de mensonges et qu’il n’y avait pas d’effets secondaires à la vaccination. Il ne fallait surtout pas nuire à l’effort vaccinal déployé par les agences de santé qui approuvent un nouveau vaccin à chaque année. Pour ces gens, les vaccins ne contiennent pas de produits toxiques en quantité assez suffisante pouvant nuire à notre santé. Par le fait même on nous dit que le vaccin contre le A/H1n1, qui contient du mercure et autres produits toxiques , sera bon pour nous.

Heureusement, tout le monde n’y croit plus.

Avec la grippe A/H1N1, le débat arrive enfin. Nous développerons, je le souhaite, un regard plus critique, un éveil obligé, et regarderons d’un peu plus près ce qui se cache sous la pointe de l’iceberg .

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Autopsie des terrorismes - Les attentats du 11-septembre & l’ordre mondial
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Les États-Unis mènent ce qu’on appelle une « guerre de faible intensité ». C’est la doctrine officielle. Mais les définitions du conflit de faible intensité et celles du terrorisme sont presque semblables. Le terrorisme est l’utilisation de moyens coercitifs dirigés contre des populations civiles dans l’intention d’atteindre des visées politiques, religieuses ou autres. Le terrorisme n’est donc qu’une composante de l’action des États, c’est la doctrine officielle, et pas seulement celle des (…)
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