Il était une fois des lettres piégées à l’anthrax provenant des labos militaires US
Une fois l’origine avérée, on en parla plus
Il en sera de même pour le gaz sarin dont l’usage est portée au compte du régime
Mme Carla del Ponte, magistrate intègre n’a pas cédé aux propagandes atlantistes
Et la mise en scène grossière qui en à été faite est plus que suspecte
Et voilà les Russes qui s’en mêlent. C’est bien.
Mais les preuves de mes soupçons seront-elles une fois confirmées ?