RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

L’UNESCO retire son patronage à RSF pour la Journée pour la liberté sur internet

L’UNESCO a retiré son patronage à la Journée pour la liberté sur internet, organisée par l’organisation non gouvernementale Reporters sans frontières (RSF).

L’UNESCO réaffirme son soutien à la liberté d’expression sur internet mais elle se voit contrainte de retirer son patronage après la publication par RSF d’informations qui vont à l’encontre des arrangements passés entre les deux organisations à propos de cet événement.

Suite à une demande de RSF, présentée par le biais de la Commission nationale française pour l’UNESCO*, le Directeur général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura, dans une lettre du 22 février 2008, a accordé le patronage de l’UNESCO à cette journée internationale. La lettre indique clairement que l’Organisation ne peut « s’associer à la réalisation des activités envisagées à cette occasion » par RSF.

Dans sa communication relative à la journée, RSF a publié des éléments concernant un certain nombre d’Etats membres de l’UNESCO, éléments dont l’Organisation n’a pas eu connaissance et qu’elle ne peut reprendre à son compte. Le logo de l’UNESCO a été utilisé d’une façon qui laissait penser que l’Organisation soutenait l’information présentée.

L’UNESCO a clairement pour mandat de défendre la liberté d’expression et la liberté de la presse. Pour ce faire, elle utilise les canaux et les lieux de discussion qui sont ceux d’une organisation intergouvernementale de la famille des Nations Unies, dans le respect de la souveraineté de ses 193 Etats membres. Ainsi, l’UNESCO a été à l’avant-garde du débat sur la liberté d’expression sur internet lors du Sommet mondial sur la société de l’information, organisé par les Nations Unies, et elle continue de l’être via le Forum sur la gouvernance de l’internet, un dialogue mené actuellement par les Nations Unies sur l’avenir d’internet.

* Les Commissions nationales pour l’UNESCO servent d’organes de liaison entre l’UNESCO et ses Etats membres. Elles sont financées par leurs gouvernements.

http://www.newspress.fr/communique.asp?from=diffadr&diffid=1093&am...


L’UNESCO retire son co-patronage à Reporters sans frontières

PARIS, le 12 mars (PL).- L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a retiré aujourd’hui son co-patronage au groupe français Reporters sans frontières à l’occasion de la Journée pour la liberté d’Internet.

Des sources diplomatiques de l’UNESCO ont informé Prensa Latina que l’agence avait pris cette décision en raison des fautes réitérées d’éthique commises par RSF dans le seul but de discréditer un certain nombre de pays.

Les agissements de RSF ne répondent ni aux critères ni aux objectifs de l’UNESCO et montrent une fois de plus qu’il ne poursuit que le sensationnalisme en voulant s’ériger en grand inquisiteur des nations en voie de développement, relèvent les médias consultés.

Pour cette raison et d’autres antécédents, l’UNESCO a choisi de rompre ses relations avec RSF et de l’exclure de toute forme de coopération dans l’avenir

L’association française, accusée à plusieurs reprises d’entretenir des relations étroites avec la CIA des Etats-Unis, a lancé aujourd’hui une nouvelle campagne tendant à stigmatiser les Etats qu’elle accuse de « cybercensure ».

Des diplomates ayant pris l’attache de Prensa Latina mais préférant garder l’anonymat ont fait remarquer que, curieusement, il ne figure aucun Etat occidental sur la liste noire de RSF, qui concentre son feu sur le tiers monde.

Le journaliste canadien Jean-Guy Allard a plus d’une fois dénoncé, dans plusieurs articles et dans un livre, le fait que RSF reçoit une partie de ses financements de la National Endowment for Democracy (NED) des Etats-Unis.

Il a aussi accusé l’association d’entretenir des relations suivies avec des agents reconnus de la CIA et de bénéficier du soutien financier de l’Union européenne. En 2005, l’UE a versé plus d’un million d’euros à RSF.

http://www.granma.cu/frances/2008/marzo/mier12/unesco-f.html

URL de cet article 6167
  

Éric Laurent. Le scandale des délocalisations.
Bernard GENSANE
Ce livre remarquable est bien la preuve que, pour l’hyperbourgeoisie, la crise n’est pas le problème, c’est la solution. Éric Laurent n’appartient pas à la gauche. Il est parfois complaisant (voir ses livres sur Hassan II ou Konan Bédié). Mais dans le métier, on dit de lui qu’il est un " journaliste d’investigation " , c’est-à -dire … un journaliste. Un vrai. Sa dénonciation des délocalisations, par les patronats étatsunien et français en particulier, est puissamment documentée et offre une (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

Assange ne représente un danger pour personne, sauf pour ceux qui représentent un danger absolu pour tout le monde.

Randy Credico

Lorsque les psychopathes prennent le contrôle de la société
NdT - Quelques extraits (en vrac) traitant des psychopathes et de leur emprise sur les sociétés modernes où ils s’épanouissent à merveille jusqu’au point de devenir une minorité dirigeante. Des passages paraîtront étrangement familiers et feront probablement penser à des situations et/ou des personnages existants ou ayant existé. Tu me dis "psychopathe" et soudain je pense à pas mal d’hommes et de femmes politiques. (attention : ce texte comporte une traduction non professionnelle d’un jargon (...)
46 
Le fascisme reviendra sous couvert d’antifascisme - ou de Charlie Hebdo, ça dépend.
Le 8 août 2012, nous avons eu la surprise de découvrir dans Charlie Hebdo, sous la signature d’un de ses journalistes réguliers traitant de l’international, un article signalé en « une » sous le titre « Cette extrême droite qui soutient Damas », dans lequel (page 11) Le Grand Soir et deux de ses administrateurs sont qualifiés de « bruns » et « rouges bruns ». Pour qui connaît l’histoire des sinistres SA hitlériennes (« les chemises brunes »), c’est une accusation de nazisme et d’antisémitisme qui est ainsi (...)
124 
Comment Cuba révèle toute la médiocrité de l’Occident
Il y a des sujets qui sont aux journalistes ce que les récifs sont aux marins : à éviter. Une fois repérés et cartographiés, les routes de l’information les contourneront systématiquement et sans se poser de questions. Et si d’aventure un voyageur imprudent se décidait à entrer dans une de ces zones en ignorant les panneaux avec des têtes de mort, et en revenait indemne, on dira qu’il a simplement eu de la chance ou qu’il est fou - ou les deux à la fois. Pour ce voyageur-là, il n’y aura pas de défilé (...)
43 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.