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L’inflation n’existe pas naturellement !

Ce n’est pas une fatalité contre laquelle nous ne pourrions rien. Que la subir. Puisque ? Nous pouvons arrêter de subir parce que c’est une fabrication des ennemis de la société, hyper égoïstes et qui n’ont ni foi ni loi. Dans ce cas, aucun respect à avoir pour eux.

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https://www.imagiter.fr/2018/06/la-societe-reste-structurellement-organisee-pour-voler-les-pauvres-3.html
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Ce texte a déjà sacrément débroussaillé le blocage. Avec tant d’apports utiles. Cela aide si fortement de faire se joindre les certitudes que – théoriquement - le capitalisme n’existe plus sinon en une série de mensonges. Dont le pire reste de se faire croire « naturel », issu directement des lois de la Nature. Alors que le faux capitalisme n’est qu’artificiel, entièrement inventé, une fiction, oui un discours désorganisé par des cœurs inhumains. Ainsi pas de « main invisible », qui veillerait sur toutes choses mais que leurs mains trop...visibles d’avides illégaux.

Du fait qu’il n’y ait plus une science objective de l’économie mais que du vol organisé par les pouvoirs, l’inflation n’est surtout pas une fatalité (celle qu’on subit). Mais des suites enchevêtrées d’escroqueries (que l’on dévoile et qui, donc, ne peuvent finir qu’en...prison !). Ainsi 2 causes principales à l‘inflation :
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1- L’inflation est provoquée à 50% par les monopoles interdits par la loi

Les monopoles, qui contredisent frontalement le « libre marché ». Le marché de la libre concurrence. Celui tant vanté par l’Europe dans l’article 1 de sa constitution, rejetée en 2005 par le référendum du non. « L’Europe est pour la concurrence libre et non faussée’’. Avec les monopoles c’est de la concurrence non libre, puisque séquestrée, et donc absolument faussée. Les monopoles désobéissent à l’Europe, et ses lois, sont surtout ses pires ennemis c’est sûr. Et la C.E. les appuie illégalement. Les monopoles font de l’ex-capitalisme du très grand banditisme en bandes organisées. Ces grands voleurs sont la cause de 50 % de toute l’inflation. Beaucoup trop pour que l’on ne s’en occupe pas.

Preuves : la courbe montante de tout l’argent que vous perdez du fait de l’augmentation non nécessaire des prix, se retrouve bien – symétriquement – dans les profits illégaux des monopoles. Ils gagnent ce que vous perdez, sauf que la loi ne le permet pas. Les autres ennemis de la société, déguisés en politiques, les aident donc à rester hors la loi. La flagrante correspondance des courbes avoue le grave délit de l’inflation antisociale. La « croissance » n’existe que pour eux seuls puisque, depuis des décennies, les salaires sont bloqués, donc ne participe d’aucune croissance. L’inflation c’est d’augmenter les prix sans que les coûts augmentent : ces « surprofits » qui restent si injustement non taxés ! Ce pourquoi l’inflation peut se voir qualifiée de vol organisé. Les ennemis de la société nous la vole sans arrêt. Ce n’est vraiment que ce qui existe de plus bas sur Terre !

2) – La seconde cause est la spéculation pour 40 % des causes (nous avons donc déjà mis sous les verrous 90 % les grands fomentateurs du délit « inflation organisée » !). D’aucuns vous braillaient : « mais c’est leur droit que de spéculer ». Sauf que s’ils pissent et chient sur les portes des voisins, ce n’est plus un droit mais des flagrants abus, des agressions injustifiées, des prises en otages de la vie d’autrui, des comportements « d’ennemis de la société ». Ce qu’ils ne veulent surtout pas qu’ils leur soient faits à eux ! Accumuler des profits hyper égoïstes en nuisant à la société complète juste pour accumuler des gains déloyaux par simples manips de robots non cela n’est que miteux, petit, mesquin, sordide. Mais crée une inflation qui ruine les petites entreprises et les petits commerces. Que les régressions monopolistiques veulent s’approprier sans aucun droit juridique. Les lois antitrust rendent hors la loi tout monopole. Et les spéculations rentrent dans le délire si mortel d’indexer tous les prix sur la Bourse. Rendant l’abolition de la Bourse comme un immense bienfait pour l’intérêt général. Ces ennemis du genre humain veulent juste faire de toutes les activités de plus de 90 % de la population leur rente privée. Déloyale. Non juste et surtout pas nécessaire !

3- Comment sortir vraiment de ces destructions par le haut ?

Depuis Marx, nous savons que décrire la société ce n’est pas la transformer. Et que le raccourci le plus efficace vers cette mutation demeure de bien formuler les causes profondes des évènements. Méthode utilisée ici même. Bien. Ne demeure qu’à citer les obstacles entre nous et la transformation complète. Dont le plus important reste l’évènement inutile des inflations fabriquées. Fabriquées seulement pour augmenter des surprofits non justes et non nécessaires. La solution qui arrache les racines pourris ?

4- Abolir la Bourse c’est retrouver les économies Locales enfin réunies. Nous sommes bien là dans la structure des mafieux monopoles. Rubrique comment, sans rien investir, ils volent si illégalement (pour nous) les biens des autres. Covid, fausse loi d’urgence, confinement infondé (jamais on ne confine les biens portants), 49-3, répressions policières, monopoles Illégaux de médias, tout ceci ayant permis aux monopoles de grandir de manière néfaste et toujours plus vite : les inutiles confinements auront attaqué les économies locales dites « économies » réelles. Locales dont nous avons tant besoin partout. Les monopoles détruisent irresponsablement les avenirs locaux. Faut tout refaire derrière ces brouillons barbares ; services publics et économies locales sont plus nécessaires et justes que leur sordides profits. Immérités profits venant en sorte d’exactions peu reluisantes. Le mot qui les décrit si précisément reste : « parasites ». Parasites qui vivent sur le dos de 80 % de l’Humanité, ne créent rien mais détruisent les liens sociaux (par son « économie de guerre »). Et n’ont d’autre but que de se vautrer salement sur la rente dite rentable (qui secrète de la rente de manière irresponsable). Soit tue tout avenir pour nos enfants et nous. Conclusion juste et nécessaire : tout ira bien mieux sans eux. Et, puisqu’il y eut, un 4 Août, une fin des privilèges, très vite il va y avoir une fin des parasites. Vous en dites quoi déjà ?

Un court détour ? De la nuisance de monologuer en politique ? Monologuer étant un monopole de fait. Nous avons trouvé ceci qui décrit un anti-débatteur, un destructeur des conversations, un ennemi de parlementer dans le Parlement, faisant même, parfois, haïr l’oral monologué, « capable d’ignorer le ton de la question pour ne se centrer que sur son contenu, où il était à ce point convaincu d’être dans le vrai qu’il n’entendait que ce qu’il pensait » (p. 389 – Pierre Lemaitre – Le grand monde, janvier 2022). Oui abruti, abasourdi, assourdi, perdu, égaré, dans le vacarme de son enfer sonore portatif. Là dans la grotte régressive où toute humanité se perd ! Le toujours même perd, lui, tout en chemin. Et il voudrait que tout le monde l’y suive. Ayant atteint la « surdité sociale » (concept à introduire partout) nous voyons, avant tout, un miséreux asocial pour qui « diriger = empêcher les autres de parler ». Oui à ce point ! Infernal cauchemar, non ? Surtout pour les autres et les autres c’est tout le monde !

Soit incompétent à tout dialogue, partage et équitabilités. Retourné à la brute sourde et aveugle sans échanges. A vie enfermé dans la vocifération insensée d’un monologue tout le temps hurlé.

Or, justement, de trouver le son juste de parvenir à imputer 90 % de toute l’inflation, causée uniquement par 2 comportements déviants, si antidémocratiques, nous fait déjà nettoyer leur merde à 90 %.

Une fois de plus, vivre Sans ces fauteurs de troubles est devenu très nécessaire...

....Poursuivons.

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"Pour sauver la planète, sortez du capitalisme" de Hervé Kempf
René HAMM
Le titre claque comme un slogan que l’on clamerait volontiers avec allégresse. Quel immense dommage que si peu de Vert(-e)s adhèrent à ce credo radical, préférant, à l’image de Dominique Voynet Daniel Cohn-Bendit ou Alain Lipietz, quelques commodes replâtrages ! Les déprédations gravissimes de l’environnement découlent d’un mode de production uniquement mû par « la maximisation du profit ». La crise économique actuelle, corollaire des turbulences qui ont frappé la bulle des hedge funds et (…)
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C’est seulement quand le nombre de cadavres de l’oppresseur est suffisamment grand qu’il commence à écouter.

Amilcar Cabral

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