
Mohamed Bacar, le président déchu de l’île d’Anjouan, aux Comores, a été remis en liberté vendredi par la cour d’appel de Saint-Denis de la Réunion.
L’ex-président comorien reste sous le coup d’un arrêté de reconduite à la frontière, qui ne précise pas le pays de destination. L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) examine actuellement la demande d’asile politique formulée par le colonel Bacar et ses hommes. La réponse ne devrait pas être connue avant deux semaines.
le jdd.fr
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