La presse nous l’apprend ! «  La dépendance de Jean-Luc Delarue à la cocaïne était un secret de polichinelle ».
Vous le saviez, vous ? Non. Seulement les médias, les journaleux assez élégants pour ne pas aller cafter au peuple, ce mineur. C’est pourquoi elle «  était jusqu’ici tolérée par France Télévisions tant qu’elle n’entraînait pas de dégradation de l’image et de la réputation du service public. » Méditez le cynisme qui «  tolérait » que plus de dix mille euros par mois s’évanouissent dans les narines d’un pitre qui en perçoit beaucoup plus, payés par nous en échange d’émissions misérabilistes d’une affligeante bêtise racoleuse.
Et qu’est-ce qu’il répond, le père La Vertu démasqué ? Ceci, en substance : «  je-saisquej’aifauté-mais-jemesoigne. Laissezmoi continuer-à -vousabrutir et envoyezles soussous dansmapopoche. Snif, snif ! ».
Snif, c’est ça !
Théophraste R. (qui-n’aimepasDelarue-etçasevoit) .