@ Bureau national de l’UJFP.
C’est bien beau d’écrire : les impudent-e-s…prisonnier-e-s palestinien-ne-s… tou-te-s les résistants ont subi…. Résistants pour la France libre… les résistant-e-s juifs/ves au nazisme, traité-e-s de terroristes et exécuté-e-s, etc.
Mais attention aux fotes d’ortografe ( !) : il fallait écrire : prisonnie-è-re-s, tou-te-s les résistant-E-s. Résistant-E-s pour la France…
Et pourquoi laissez-vous au masculin : les supporters inconditionnels…dédommager les Palestiniens… les Juifs du monde… les citoyens du monde… en danger les Juifs...
Je n’ai pu aller au bout d’une lecture au demeurant distraite par tant d’incohérences où la marque de l’intégrisme féministe prend le pas sur le fond de l’article.
Je populariserais volontiers vos idées, dont je sais qu’elles sont justes, mais pas avec ce genre de prose qui mêle deux combats, dont l’un défigure notre langue, insulte la logique du lecteur et lui fait le procès implicite d’être moins féministe que vous.
Parce que, quand vous êtes en réunion de Bureau, vous parlez comme ça ? Non. Alors, pourquoi nous rapportez-vous vos propos sous cette forme difforme ?
Le site Grand Soir a souvent traité de cette question de la confusion entre genre et sexe des mots. Mais il a encore du boulot.