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José Daniel Ferrer : détenu pour être délinquant et membre d’un gang.

Depuis quelques jours, les différentes agences de désinformation au service des ennemis du peuple développent une campagne médiatique autour du dirigeant contre-révolutionnaire José Daniel Ferrer, chef autoproclamé de l’organisation contre-révolutionnaire Union Patriotique de Cuba (UNPACU), dirigée par le Département d’État des Etats-Unis, les cubano-américains de la politique américaine contre Cuba, Marco Rubio et Mario Díaz-Balart, et l’OEA (Organisation des Etats Américains) discréditée, avec à sa tête le serviteur Luis Almagro.

Les faits réels sont démontrés dans l’article publié par M. H. Lagarde dans les pages de son blog "Changes in Cuba"

Depuis plusieurs jours, la mafia anticubaine de Miami (représentée par Marco Rubio et Mario Diaz-Balard), l’ambassade des EU à la Havane, le département d’État et son conseiller de la OEA, Luis Almagro, ont pointé dans leurs habituelles diffamations contre Cuba l’arrestation de "l’opposant"’ José Daniel Ferrer.

Bien que ses défenseurs essaient de présenter ce fait comme une autre "violation des droits de l’homme", de la part du "régime", le leader autoproclamé de l’organisation contrerévolutionnaire Union Patriotique de Cuba (UNPACU), est incarcéré depuis le 1er octobre dernier, non pas pour des causes politiques mais pour son action récidiviste comme " détenu pour être délinquant et membre d’un gang".

Selon la publication du site web cubain "Santiago Arde" :

"Si vous vous demandez les raisons pour lesquelles il est finalement incarcéré, vous avez ici la réponse" :

le 20 septembre dernier, Ferrer Garcia avec l’aide de ses 3 "conseillers" a administré une raclée à Sergio Garcia Gonzalez de Holguin pour des supposées soupçons contre lui. Suite à cette agression, la victime des méthodes "démocratiques" de Ferrer a dû être hospitalisée en thérapie intensive pour de graves lésions à l’hôpital de l’arrondissement de Mayari Abajo, province de Holguin.

Dans cette agression sont également impliqués :

Ruilant Zarraga Ferrer , cousin de José Daniel Ferrer, qui fut arrêté pour vol avec effraction en appartement et pour viol sur mineure et José Pupo Chaveco (alias El Vaquerito) condamné pour vol et patient du Centre d’Attention des malades mentaux plus connu sous le nom de El Viso, institution d’où il s’échappa pour s’installer dans la résidence de Ferrer.

Selon le site "Santiago Arde" :

comme démontré, Ferrer Garcia non seulement manipule et utilise des délinquants pour commettre des actes de violence, mais aussi utilise des malades mentaux. Ce n’est pas la première fois que le "chefaillon" de l’UNPACU commet une agression contre ses propres partisans qui jusque là ne l’avaient pas dénoncé par peur de représailles.

Chronologie des actes de violence du délinquant José Daniel Ferrer :

 Liudmila Cedeño, ex-épouse, a été victime d’un accident de violence familiale
 Prudencio Villalon Rades a été agressé sur la voie publique pour activisme à l’UNPACU, sous les ordres de José Daniel Ferrer
 Ernesto Jimenez a été sauvagement frappé pour s’être rendu chez le leadeur de l’UNPACU sans avertir de sa venue
 Yusmila Reyna Ferrera, ex-épouse, a été victime d’un autre accident de violence familiale. Yusmila a été agressée de façon violente alors qu’elle était enceinte, et devant sont petit garçon de 4 ans
 Roberto Ayala Galindo, dans une discussion avec Ferrer concernant des problèmes internes qui a mal tourné, Ferrer a accusé Roberto Ayala de travailler pour les services secrets du régime castriste. Finalement, Ayala a été frappé par différents activistes qui se trouvaient au siège de l’UNPACU, parmi eux Yriades Hernandez et Zaqueo Baez.
 José Daniel Ferrer a payé 40 CUC à Roberto Alpagua "Pipi" pour frapper Roberto Ayala Galina.
 Liettys Rachel Reyes Tur, ex-épouse, victime d’un autre épisode de violence familiale : José Daniel l’a frappé violemment avec rage sans même respecter son état de grossesse de 36 semaines.
 Yriades Hernandez Aguilera : José Daniel affirma qu’il était agent de la sécurité de l’Etat car il faisait tout faux. José Daniel lui cracha au visage et reçut un coup contondant à la tête suivie d’une perte de connaissance.
 Sergio Garcia Gonzalez : Ferrer Garcia, avec l’aide de 3 de ses "agents", lui a administré une volée de coups à cause des présumés soupçons contre Ferrer.

L’épouse "espionne" du "séquestré"

Un autre des mensonges avec lesquels ses défenseurs essaient d’extrapoler la cause de "l’innocent" José Daniel Ferrer, sont les déclarations de son épouse Nelva Ismarays Ortega Tamayo, également membre de la "dés-organisation" UNPACU, dans laquelle elle se réclame être une victime d’un "régime insensible" qui ne permet pas au père "séquestré" de voir ses enfants et son épouse.

A propos du transfert de Ferrer Garcia à la maison d’arrêt de Aguedores, il a été signalé à son épouse Nelva la date de la visite réglementaire. Cependant, elle s’est rendue à la prison avant la date prévue accompagnée de ses filleuls, et après s’être confrontée aux autorités, elle a filmé sa provocation pour ensuite la rendre publique sur les réseaux sociaux et les media contrerévolutionnaires.

Les lunettes "espionnes"

Comme si cela ne suffisait pas, comme un grossier remake d’un film de James Bond, le jour de la visite, l’épouse de José Daniel Ferrer se présenta à la maison d’arrêt avec des lunettes "espionnes", qui selon le site Amazon, sont dotées d’une caméra espionne HD 1080p, avec une résolution Full HD, résolution d’images 5 MP, un son parfait, dernière technologie de caméras et enregistrement de video. Les autorités de la maison d’arrêt la déclarèrent "persona non grata".

Pour cette raison, elle ne peut pas voir son époux qui, selon la plaignante, "a besoin de médicaments urgents". Curieusement, elle n’a pas voulu laisser les "nécessaires" médicaments au médecin de la prison, elle a préféré repartir chez elle avec.

Traduction de Lydia Molina

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Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’État - et c’est pareil dans les autres pays européens - s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc, l’État (c’est-à -dire nous tous !) s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêts, et cela rend évidemment tout beaucoup plus cher.

On ne l’a dit pas clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la Banque centrale, ce qui n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104, disait « Les États ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissements publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait eu une révolution.

Ce hold-up scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an et nous ruine année après année. Ce sujet devrait être au coeur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.

Etienne Chouard

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