Immobilier France. Décidément, rien ne va plus : baisse des prix, transactions de plus en plus longues et difficiles, Immonot.








Immonot, l’ immobilier des notaires, septembre 2007.


(...) Sur le marché des logements, de plus en plus de transactions se réalisent à des prix qui, hors quelques régions privilégiées, s’essoufflent mois après mois. Dans l’Allier, chez Me Tain, comme à Troyes chez Mes Chaton et Somborn, on évoque la « frilosité des acquéreurs » dans l’attente de l’application du dispositif d’incitation d’accession à la propriété. Après la censure du Conseil constitutionnel, seuls 700 000 ménages, au lieu des 3,5 millions concernés préalablement, pourraient bénéficier de la déduction des intérêts d’emprunts.(...)

D’une enquête sur l’autre, l’évolution est évidente. Fin juin, seulement 46% de nos correspondants conseillaient la vente et 38%, rassurés probablement par le résultat des élections, lui préférait l’achat. Après cet été particulièrement maussade, 83% d’entre eux conseillent la vente avant tout achat, convaincus que la hausse des prix est derrière nous. (...)

Décidément, rien ne va plus dans les Études. Bien que l’activité observée cet été apparaisse comparable à celle des mois précédents, il semble qu’un véritable « coup de frein sur les transactions avec des négociations de plus en plus longues et difficiles » (...).

- Lire l’ article www.immonot.com






Les agents immobiliers nous cachent-ils un krach ?<BR>
C’est ce qu’on se dit en regardant les caméras cachées tournées par ce Michael Moore de l’immobilier, Le Post.



Immobilier France : Le coup de semonce, par Yves Le Grix.

Immobilier : Bulle, Krach, Boum !


A LIRE : Note sur l’éclatement de la bulle immobilière américaine, par Isaac Johsua.






COMMENTAIRES  

14/09/2007 00:23 par Anonyme

Défaillances d’entreprises : le rythme s’accélère.

13 09 2007

Selon les chiffres d’Euler Hermes Sfac, les défaillances d’entreprises ont augmenté de 7,4% en août sur un an. La remontée des défaillances affecte principalement la construction.
Les entreprises françaises traversent une mauvaise passe : les faillites "sont en hausse de 7,4% - soit 50.522 entreprises - en cumul 12 mois par rapport à leur niveau atteint en août 2006 et de 10,2% sur les 8 premiers mois 2007 comparés à 2006", indique Euler Hermes Sfac dans un communiqué. Cette hausse est due principalement aux très petites entreprises (TPE), dont le chiffre d’affaires est inférieur à 500.000 euros, et au secteur de la construction.

Cette augmentation de la sinistralité tient sans doute au ralentissement de l’activité observé au cours du premier semestre mais c’est aussi la conséquence du nombre croissant d’entreprises créées. En effet, statistiquement le risque de disparition d’une entreprise est plus fréquent dans les cinq premières années suivant sa création.

La Franche-Comté, affectée notamment par la crise de la filière automobile, enregistre la plus forte hausse des défaillances d’entreprises avec une progression de 28,6%, très supérieure à la moyenne nationale. A l’inverse, quatre régions affichent une baisse de leurs sinistralité. Il s’agit du Nord Pas de Calais, de l’Auvergne, de la Picardie, et de la Corse.

Selon Philippe Brossard, "l’année 2007 devrait être marquée par une progression des défaillances d’environ 5%". Pour le directeur de recherche de Euler Hermes Sfac, dans un contexte de faible accroissement de l’activité et de resserrement monétaire, "la situation financière de nombreuses sociétés risque de se dégrader".

latribune.fr

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