Tandis que l’Espagne reconnaît officiellement la présidence de Pepe Lobo, contrats commerciaux sonnants et trébuchants à l’appui, la répression ne baisse pas en intensité dans le petit pays d’Amérique Centrale. En voici quelques exemples tout frais...
La COFADEH reçoit des menaces
Le Comité de Parents de Détenus Disparus au Honduras (COFADEH) dénonce le fait que le dimanche 7 février il a reçu des menaces à l’encontre de ses membres.
Des tueurs assassinent un syndicaliste, membre de la Résistance
A l’aube du lundi 15 février, Julio Funès Benitez, membre de la résistance et apparenant au Syndicat SITRASANAA a été assassiné. Ses assassins ont disparu sans être inquiétés à bord d’un taxi, dans les environs du quartier Brisas del Norte, de Comayaguela.
Des inconnus attaquent un artiste du Movimiento Amplio por la Dignidad y la Justicia
Vendredi 12 février à la tombée de la nuit, l’artiste hondurien Hermes Reyes, qui est aussi membre du Vaste Mouvement pour la Dignité et la Justice, dont l’organisation est liée au Front National de Résistance Populaire (FNRP), a été victime d’un attentat alors qu’il sortait d’une réunion du FNRP.
Des inconnus entrent par effraction chez le vice-président du syndicat STIBYS et mettent du sang jusque dans son lit
Jeudi 11 février, deux hommes sont entrés par effraction dans la maison de Porfirio Ponce, vice-président du Syndicat STIBYS, ils ont volé son ordinateur et ont badigeonné sa maison avec une grande quantité de sang.
http://www.primitivi.org/spip.php?article238