Chers amis du GS
Votre humble serviteur, qui parfois use -et souvent abuse- de la politesse du désespoir (l’humour) , saisit son mégaphone, s’avance vers vous et lance cet appel avec la plus grande gravité, bravant le ridicule, espérant que ce texte échappera aux nombreuses catégories -à juste titre- visées par la modé du GS :
Qu’attendre d’un syndicat (la CGT) qui, à l’instar des quatre autres formations syndicales CFDT, UNSA, CFTC, FO SONT FINANCéS par le cheval de troie étatsunien qu’est l’antidémocratique et totalitaire Commission Européenne via la scélérate Confédération Européenne des Syndicats ?
Allons-nous confier notre destin collectif entre les mains de tous les barons Seillière ?
C’est du pareil au même !
Affrontons en FACE nos irréductibles ennemis de classe !
Reprenons notre destin collectif en main !
Disons NON à l’UE américaine et à son projet de dissolution des nations et destruction des droits qu’elles abritent !
Les états majors syndicaux sont les croques morts corrompus de nos conquêtes sociales, ils marchent main dans la main avec nos ennemis jurés de classe derrière le corbillard de tous les acquis promis à la destruction jusqu’au dernier, jusqu’au servage !
Secouons-nous et cessons la pensée magique, cela ne marche pas !!!!!!!!!!
La seule alternative au chaos généralisé programmé par les élites de Goldman Sachs et leurs affidés résident dans la sortie de l’UE. L’article 50 du traité de Lisbonne le permet, il est de la première urgence de sonner l’heure du rassemblement populaire, toutes sensibilités confondues, et briser l’omerta de la mafia européisto-atlantiste, faire pièce à l’apocalyptique dessein de Lloyd Blankfein, le tout puissant boss de Goldman Sachs, qui proclame à la face du monde "accomplir le travail de Dieu".
Je suis dorénavant suffisamment instruit, et résolu comme jamais pour savoir d’où viennent les coups et clamer à qui veut l’entendre que cette alternative est aussi urgente que nécessaire et qu’il convient d’employer TOUS les moyens, de mobiliser TOUTES les énergies pour parvenir à l’issue de secours avant le grand incendie social.
Mille excuses pour la grandiloquence de mon ton, mais je prends soudainement conscience que les choses, non seulement nous échappent, mais que le processus s’accélère dans des proportions alarmantes et que le salut démocratique ne tient plus qu’à un fil.
2014 sera décisive pour le destin de l’Europe et bien au-delà.
Le grand marché transatlantique programmé pour 2015 sonne le glas de nos espérances. Il précipitera irréversiblement notre déclin et scellera à jamais notre soumission aux puissances d’argent anglo-saxones dans un climat social promis à terme à la guerre civile.
Dérisoire et bien naïf est cet appel, sauf si de ce cri silencieux et désespéré jaillissait l’étincelle du renouveau. Un ticket d’Euromilion à l’échelle de la nation en somme. Il faut bien que quelqu’un se dévoue.
Puisqu’il est admis que d’un battement d’aile de papillon peut naître un cyclone de catégorie 5, j’aurais au risque d’un ridicule non létal (au pire pathétique, mais toujours moins qu’une usine qui ferme) tenté d’amorcer le début du commencement de l’ombre d’un soulèvement démocratique.
UNISSONS NOS FORCES, DEBOUT CAMARADES !