RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher
2004-06-08

Fathy : Passons à l’action !

Pour soutenir FATY, injustement licenciée pour avoir
lutté contre l’exploitation pour le droit à la dignité
nous vous donnos rendez vous pour action le Mardi 08
Juin à 18H00 à l’extérieur de la Gare RER de Denfert
Rochereau.

Rappel des faits

Il y a un peu plus an, une trentaine des femmes de
chambre d’Arcade, faisaient céder leur employeur et
son donneur d’ordre le tristement célébre groupê
ACCOR. Une grève de douze mois avait mis en lumière et
fait connaître au grand public les conditions de
travail esclavagistes qui leur étaient imposées.

Pourtant, après un an, on s’aperçoit que la
direction d’Arcade et ACCOR n’applique les accords
qu’aux seules grévistes et continuent leur management
antisocial et esclavagiste : heures supplémentaires
non payées, horaires contractuels non respectés,
cadences accélérées, cartes orange non remboursées.

Mais la direction rancunière n’a pas oublié le
camouflet et entend briser la résistance. Rien
d’étonnant, donc, à ce que Fathy Mayant
représentante syndicale SUD, figure de proue de la
grève soit la première visée.

Fathy a été licencié le 11 mai. L’inspection du
travail, peu regardante, a accordé le renvoi de
Fathy sans aucune raison fondée.

Contre cette injustice. Soyons nombreux le Mardi 08
Juin à 18h30 à la Gare du RER Denfert Rochereau pour
une action.

URL de cet article 1621
   
Cuba, Fidel et le Che - ou l’aventure du socialisme
Danielle BLEITRACH, Jacques-François BONALDI
Voilà notre livre, il est enfin sorti de l’imprimerie, tout chaud comme un petit pain… Il faut que je vous explique de quoi il s’agit, comment se le procurer s’il vous intéresse et comment organiser des débats autour si bien sûr vous êtes en mesure de le faire… Danielle Bleitrach D’abord sachez que ce livre inaugure une collection du temps des cerises, collection qui portera le nom "aventure du socialisme" Je reviendrai sur cette idée du socialisme comme aventure. L’idée (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« (...) on a accusé les communistes de vouloir abolir la patrie, la nationalité. Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ravir ce qu’ils n’ont pas. Comme le prolétariat de chaque pays doit en premier lieu conquérir le pouvoir politique, s’ériger en classe dirigeante de la nation, devenir lui-même la nation, il est encore par là national, quoique nullement au sens bourgeois du mot. »

Karl Marx, Friedrich Engels
Manifeste du Parti Communiste (1848)

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.