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Et moi qui pensais que le monde n’était plus qu’un "petit village" tranquille !

Il m’arrive très souvent de me sentir "parano" mais je me console en me disant que je ne suis pas le seul.

LA POLLUTION ATMOSPHERIQUE EST RESPONSABLE DE 7 MILLIONS DE MORTS, EN 2012 !! (World Health Organisation).

Qu’on vienne pas me dire que c’est le prix à payer pour notre "qualité" de vie, le "progrès".

J’imagine qu’il n’y a rien de trop absurde, d’impensable et d’horrible que le "capitalisme" ne puisse "fabriquer" et provoquer pour se protéger et promouvoir les intérêts (profit) des privilégiés. "La stratégie du choc" de Naomi Klein me vient à l’esprit mais j’imagine encore pire que ça.

L’événement de "globalisation" et la chute "de l’empire du mal", l’URSS et le bloc "socialiste", nous ont été présentés comme l’élimination potentiel d’un confit mondial, de paix, de "démocratie" et de prospérité économique dans le monde. Pourtant, depuis, les souffrances, conflits et guerres, seraient trop nombreuses pour être énumérés ici, mais il suffit de dire que celles-ci ont été instigués et orchestrés directement par nos "démocraties" occidentales.

Et tant que les instances internationales, (ONU, FMI, Banque mondiale, Européenne, etc.) restent au service et dominés par les "grandes puissances", et "leurs" intérêts, il n’y a aucune raison pour que les choses changent.

Plus j’observe le monde du "capitalisme global" plus je me rend compte de l’hypocrisie et duplicité aberrante du système et ceux qui nous l’imposent. Car en réalité, ce n’est pas "le bien-être" ou le bonheur et la paix des peuples qui les préoccupe mais le contraire, car :

"C’est dans le sentiment d’incertitude, insécurité, conflit et guerre, que le capitalisme fructifie et prospère le mieux" :

Ceci, en grande partie, grâce à la crédulité des masses, en rallumant sans cesse les vieilles divergences "historiques", culturelles, religieuses, et nationalistes, pour mieux se faire manipuler.

Et qu’on ne vienne pas me dire que si je critique les uns c’est que je soutien les "autres" et vice-versa. Car le point commun dans tous ces "conflits", c’est le "capitalisme" et la défense des intérêts avares d’une élite privilégiée, contre l’intérêt des peuples.

De ma vie, il m’est difficile de me rappeler une époque avec autant de "dirigeants" aussi dépourvus d’envergure, d’imagination ou de vision. Jamais de ma vie je n’ai vu tant de désinvolture et de complicité flagrante envers les privilégies, les oligarques et les ploutocrates et autant de mépris pour les peuples.

Jusqu’où sont-ils capables d’aller dans leur folie ? Est-ce que le pire qu’on puisse imaginer ne serait pas en fait fort possible ?

"Mais il faut espérer, qu’en fin compte, "l’esprit humain", triomphe" ?

Lequel ? Celui de la "raison", le fin de l’exploitation capitaliste ? De la compassion, générosité, égalité et justice sociale ? Celle de la paix et de la démocratie pour tous ?

Ou bien celui de Dieu et des religions, des "Jeux", du meilleur, des idoles, des héros, dictateurs et despotes, des drapeaux, des médailles et des coupes, du chauvinisme, nationalisme, individualisme, de la haine et de la violence, la crédulité et l’ignorance, de la frivolité et de la superficialité ?

Parce que, de ma "tour d’observation", c’est cet "esprit humain" là qui domine et qui est encouragé, qu’on exploite et dont nous serons tous, éventuellement, les victimes.

Dieu n’étant plus notre obsession dans la recherche de l’absolu, les nouvelles structures "capitalistes" n’ont fait que remplacer les vieilles obsessions "spirituelles" par la "rationalité" économique, "l’ogre insatiable", qu’est le capitalisme global.

Ce qui implique que tout événement à travers le monde peut nous affecter directement, à tout moment. Nous avons besoin d’élargir notre perspective, perceptions et analyse politique et sociale, au delà de notre environnement immédiat car jamais le monde et les peuples n’ont été aussi intrinsèquement liés par un destin commun, "global".

"L’international" est plus que jamais d’actualité.

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Cuba, Fidel et le Che - ou l’aventure du socialisme
Danielle BLEITRACH, Jacques-François BONALDI
Voilà notre livre, il est enfin sorti de l’imprimerie, tout chaud comme un petit pain… Il faut que je vous explique de quoi il s’agit, comment se le procurer s’il vous intéresse et comment organiser des débats autour si bien sûr vous êtes en mesure de le faire… Danielle Bleitrach D’abord sachez que ce livre inaugure une collection du temps des cerises, collection qui portera le nom "aventure du socialisme" Je reviendrai sur cette idée du socialisme comme aventure. L’idée (…)
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« Il faut prendre à César tout ce qui ne lui appartient pas. »

Paul Eluard, Notes sur la poésie, GLM, 1936

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