La Confédération Nationale des Rentiers et Pensionnés de Bolivie a ratifié ce mardi son soutien au Gouvernement du président Evo Morales et a reproché le radicalisme des préfets appelée ’’media luna’’ (demi - lune), dont elle a précisé qu’ils n’avaient pas l’autorité morale pour parler de démocratie.
Le président de la confédération, Julio Garcàa, a indiqué que « les pensionnés constituent le secteur le plus convaincu de la politique de changement » que promeut le Gouvernement à partir « de la libération nationale et en améliorant les recettes de l’État ».
« Les retraités et rentiers du pays avons vécu des époques difficiles et maintenant qu’on a ouvert l’occasion d’améliorer la société bolivienne notre rôle, notre obligation est de l’approuver pleinement », affirme Garcàa.
Les pensionnés du pays, dirigés par Garcàa, se sont réunis ce mardi matin avec le président Evo Morales au Palais Quemado pour traiter de la désignation de représentants du secteur devant la Caisse Nationale de Santé et dans le Service National du Système de Partage (Senasir).
Garcàa a réitéré qu’à aucun moment la Confédération Nationale des Rentiers Pensionnés de Bolivie ne laissera tomber le Gouvernement.
« Les pensionnés nous sommes des combattants et révolutionnaires du passé », a assuré Garcàa, qui a signalé le début de mobilisations au cas où les préfets appelés ’’media luna’’ (demi - lune), insistent à diviser les boliviens.
TeleSUR - Abi/AV
