Un vaccin hasardeux
Fabrication à la va-vite : les vaccins contre un virus très mal connu sont fabriqués à la hâte et, dans l’urgence, par des fabricants avides, en raison du pactole qu’ils en attendent et de la féroce concurrence commerciale. Les projets, actuellement, sont de ne plus cultiver les virus de la grippe sur des oeufs embryonnés (il faudrait une production énorme pour la quantité de vaccin prévue et la préparation requiert au moins 6 à 9 mois de travail), mais de cultiver ces virus, beaucoup plus rapidement, sur des cellules cancérisées de reins de cocker épagneul femelle (MDCK), ou encore des cellules de chenilles (flublok) : toutes ces cellules animales peuvent être contaminées par des virus « adventices » non recherchés et/ou inconnus (Sherry TENPENNY). La FDA américaine a déjà prévenu que ces substrats cellulaires pouvaient théoriquement engendrer des prions donnant une forme « d’encéphalopathie spongiforme » (dégénérescence du cerveau). Les vaccinés risquent-ils de devenir des « vaches folles » ? [J. of Infectious Diseases].
Pas d’évaluation suffisante : les 4 phases d’évaluation, qui normalement demandent des mois voire des années, seront raccourcies et ne permettront pas de voir les effets secondaires les plus immédiats et patents, sans parler des effets sur le long terme. Même si les « vaccins maquette » (ceux de la grippe aviaire non utilisés par ex.) contiennent déjà les ingrédients de base, l’introduction de l’antigène in fine nécessite des tests qui seront faits dans la
précipitation. L’administration d’un produit insuffisamment éprouvé est sanctionnée par le code de déontologie médicale (art. R 4127-39) On parle de deux doses : deux expérimentations d’empoisonnement programmés (réprimés par le code de Nuremberg) ?
Les composants du vaccin : aucune garantie d’efficacité ni d’innocuité
Toute injection de vaccin est une « aventure » pour l’organisme, dans le cas de la grippe A, c’est encore pire. On va mettre sur le marché des vaccins transgéniques (technologie OGM) dont la composition est encore inconnue et qui risquent de contenir un cocktail de produits toxiques, notamment des adjuvants au squalène (huile de requin qui, injectée, est très dangereuse pour le système nerveux), ou encore des nanoparticules tout aussi dangereuses. Comment notre système immunitaire peut-il déchiffrer le message qu’envoient dans notre organisme des chimères qui résultent de bricolages de laboratoire ? Dérouté, désorienté, épuisé, peut-il répondre autrement que par des aberrations (maladies auto-immunes, maladies de dégénérescence, etc…) ?
Des sommes colossales engagées
Aucun vaccin n’est jamais « gratuit » : c’est le contribuable qui finance toute la politique vaccinale, c’est donc notre argent qui est utilisé pour disséminer des poisons dans le corps de nos enfants et de nous-mêmes. L’Etat a engagé plus d’un milliard d’euros dans l’achat des vaccins H1N1 sans hésiter. De quel droit un gouvernement peut-il utiliser sans concertation l’argent public en vue d’un danger hypothétique ? Dans une logique purement commerciale, le produit doit engendrer le besoin : il va bien falloir utiliser ces vaccins, même si cela n’est pas nécessaire !
Des pressions intolérables
Le vaccin est pour le moment seulement « recommandé », cela veut dire « conseillé » et non pas obligatoire. Cependant, les administrations font paraître des directives comminatoires. Les premiers destinataires des vaccins vont être les patients porteurs d’infections chroniques respiratoires, les nourrissons et les adolescents ainsi que tout le personnel médical et para-médical tout comme les militaires, les pompiers, les gendarmes. On ne peut que s’interroger sur la disproportion entre une épidémie de grippe et la gravité des mesures envisagées. Campagne de vaccination collective de grande ampleur qui « devra être conduite dans des délais serrés et sous fortes contraintes » affirment les Ministères de l’Intérieur et de la Santé.
Une psychose démesurée et des mensonges
Chaque année la grippe sévit spécialement lors des vagues de froid. C’est logique, c’est habituel. La grippe est une maladie aiguë, qui va affecter temporairement un individu puis se terminer sans laisser de séquelles ni évoluer vers une forme chronique. Certaines personnes, dont le terrain est affaibli par d’autres pathologies ou d’autres évènements personnels, vont succomber car la grippe constituera chez elles, la goutte d’eau de trop qui aura favorisé, par ex., des surinfections bactériennes, les principales complications potentiellement mortelles. « On peut avoir une grippe et mourir d’une leucémie ou d’un infarctus » (Marc GIRARD).
Le jeune homme de 26 ans hospitalisé à St-Etienne avait reçu du Tamiflu et des antibiotiques pour un « état grippal » ; les médias ont annoncé qu’il était décédé de la grippe A, mais ce n’était pas la cause réelle de sa mort. Pourquoi dissimuler la vérité ?
Etant donné que les animaux sont un réservoir permanent de virus grippaux, on n’a aucune chance d’éradiquer ces virus par une vaccination de masse (Blog d’Antoine FLAHAUT 18/07/09). Pourquoi cet entêtement à vacciner tout le monde ?
Sur suspicion de grippe, les préfets donnent l’ordre de fermer les établissements scolaires ; des paralysies dans les transports sont à craindre. S’agit-il d’excès de « précaution » ou d’autre chose ?
Une éthique bafouée
Le vaccin est recommandé essentiellement aux personnes les plus vulnérables : On propose aux plus démunis toute la série des vaccins en même temps que celui contre la grippe (DTP, BCG, ROR, papillomavirus, Hépatite B, d’un coup et « gratuitement »), dans le Val de Marne par ex. Des essais vont avoir lieu sur des femmes enceintes, alors qu’on sait pertinemment qu’un vaccin à virus vivant, ou même atténué, est un danger pour le foetus. Des lots de Tamiflu (un anti-viral aux effets secondaires graves, plusieurs morts au Japon) même périmés vont être vendus et administrés (L’Express, 20/08/09).
Les plans secrets
Les Gouvernements de tous les pays ont élaboré depuis longtemps des plans secrets en vue d’une pandémie, laquelle permet à l’industrie pharmaceutique, alliée à la finance, d’être le cartel dominant (Journal du Dimanche, 30/05/09).
L’annonce d’une pandémie mondiale déclenchera partout un état d’urgence justifiant toute sorte « d’exactions sanitaires » accompagnées de mesures draconiennes de restriction des libertés et elle renforcera le rôle des armées.
En outre, au niveau judiciaire des mesures liberticides sont également prévues (juge unique, huis clos, pas de débat contradictoire, prolongations des détentions provisoires…) (cf Libération, 8/9/09).
Chacun pourra alors ouvrir le parapluie et dire "je n’ai fait qu’exécuter les ordres et appliquer les directives". N’est-on pas dans un contexte de guerre mondiale qui ne dit pas son nom ?
Contrairement à l’usage, les vaccins contre la grippe A ne seront disponibles que dans les centres militaro-sanitaires contrôlés par l’Etat. La vaccination des élèves et de la communauté éducative sera assurée par des équipes mobiles dans les établissements scolaires. Ces équipes se rendront aussi dans d’autres collectivités comme les crèches, les centres médicaux sociaux et les prisons où elles vaccineront de force des personnes sous l’emprise de la peur. La vaccination échappe donc aux médecins, pourquoi ? (cf www.sante-jeunesse-sports.gouv.fr/IMG/circulaire_vaccination_090824.pdf).
Ce dossier vaccination est classé " Secret Défense ", pour quelle raison inavouable ? Personnel réquisitionné, création de l’EPRUS (réserve sanitaire d’enrôlés volontaires pour la gestion de la vaccination), maillage du territoire (Sud Ouest, 17/06/09), tout cela rappelle certains mauvais souvenirs…
" Nous irons ensemble vers un Nouvel Ordre Mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer" (Nicolas SARKOZY, 16/01/2009). Pourquoi ce ton menaçant ? On comprend vite que se met en place un plan mondial sans le consentement des populations qui n’ont plus le choix.
Et la responsabilité ? : l’Etat préconise le vaccin, mais ne le rend pas obligatoire pour la simple raison qu’il ne veut pas assumer la responsabilité des effets secondaires qui pourraient occasionner des procès. Tout est en place pour que ni les autorités, ni les administrations, ni les fabricants ne soient tenus pour responsables : ils jouissent tous de l’impunité. (cf décret signé par Kathleen SEBELIUS aux Etats-Unis conférant l’immunité aux fabricants de vaccin H1N1, juillet 2009).
RESULTAT : le vaccin H1N1
Ruine les finances publiques, met en danger l’intégrité sanitaire des populations, menace les libertés fondamentales
PAR CONSEQUENT :
Toute obligation de vaccination induit, pour tout opposant à cet empoisonnement, la notion de Résistance à l’Oppression (droit reconnu par la Constitution) et celle de Légitime Défense (qui ne limite pas le choix des moyens utilisables). Rappelez-vous qu’il n’y a pas de tyrans s’il n’y a pas d’esclaves. Vous avez compris ce qui vous reste à faire ….
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (1793)