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Communiqué de la gauche nationale d’Argentine suite à la mort du commandant Hugo Chavez Frias

Socialisme Latino-Américain - Gauche Nationale d’Argentine déclare son grand chagrin pour la mort du Commandant Président de la République Bolivarienne du Venezuela, camarade Hugo Chávez Frà­as

Tout au long de ce triste jour les médias d’information de la CIA, l’appareil médiatique de l’impérialisme dans son ensemble ne s’est pas préoccupé de dissimuler son charabia. Simultanément les paysans et les travailleurs vénézuéliens, les couches les plus appauvries du Venezuela et de l’Amérique Latine pressentaient le dénouement fatal et se rejoignaient pour prier pour le camarade : Des millions d’exploités qui ont pu apercevoir un autre avenir conduits par le commandant Chávez peut-être se sentent orphelins dans ce moment douloureux. Mais le premier qui se mettrait à les animer serait lui même. Ils ne sont pas orphelins de rien ni de personne. D’autres ouvriers, d’autres paysans, les autres exploités de la Grande Patrie Latino-Américaine, et les milliers de militants inconnus sortiront pour appuyer les compagnons de Bolivar et de Chávez. Socialisme Latino-américain se joint à eux. Comme le dirait le commandant : maintenant, plus que jamais, à affronter la lutte contre l’impérialisme, qui planifie de se déchaîner contre une révolution pour effacer tous les acquis.

Vivez les bolivariens !
Vivez les sanmartiniens !
Vivez la Grande Patrie !
Vive Chavez !

http://www.izquierdanacional.org/soclat/articulos/gran_pesar_por_la_muerte_del_comandante_hugo_chavez_frias/

Traduit de l’espagnol par Pablo Rivera

URL de cet article 19635
   
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Le journalisme véritablement objectif non seulement rapporte correctement les faits, mais en tire leur véritable signification. Il résiste à l’épreuve du temps. Il est validé non seulement par des "sources sûres", mais aussi par le déroulement de l’Histoire. C’est un journalisme qui, dix, vingt ou cinquante ans après les faits, tient encore la route et donne un compte-rendu honnête et intelligent des évènements.

T.D. Allman (dans un hommage à Wilfred Burchett)

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