Voici le titre de 20 Minutes : Le président Santos opéré avec succès d’un cancer de la prostate
Il y est dit aussi :
« Il devrait rester deux à trois jours à l’hôpital après l’opération et sa convalescence durer jusqu’à trois semaines, période pendant laquelle il ne pourra pas voyager mais sera en mesure d’accomplir ses fonctions officielles » . Qui ne sont plus celles d’assassiner Raul Reyes en territoire équatorien, mais de :
- négocier la paix avec les FARC
- avoir de bonnes relations avec le président du Vénézuéla, Hugo Chavez
- ne pas aller rendre visite au précédent président de la Colombie, Alvaro Uribe, qui « suit un traitement psychiatrique ». Alvaro Uribe, qui a déjà , rappelons-le, été expulsé de l’université de Washington et d’une grande école à Metz, France, où il a tenté un « recyclage, avant d’échouer lamentablement en tant que « conseiller » de l’opposant de droite à Chavez…
Ce que la presse française ne dit pas :
Bienvenus donc au « pavillon des cancéreux », Juan Manuel Santos ! Vous y rejoindrez Hugo Chavez, Président du Vénézuéla, Cristina Fernandez, Présidente de l’Argentine, Dilma Roussef, Présidente du Brésil, Luiz Ignacio Lula, ancien Président du Brésil avant Dilma Roussef, Fernando Lugo, évêque catholique romain, Président chassé par un coup d’état de la droite au Paraguay…
Maintenant, peut-être que les cancers éventuels de Gorges Bush, Barack Obama, John Negroponte, Condolezza Riace, Hillary Clinton, Bill Clinton, David Rockefeller, et les autres… et les autres…nous sont pudiquement tus ! A la fois en raison d’une une « réserve » dûment cravatée et protestante et aussi pour que ceux-ci aient l’air toujours jeunes, toujours sveltes, en pleine santé, et toujours chevelus du dessus du crâne, toujours gravures de mode et ne portant pas de lunettes (pourquoi faire ?) pour ceux qui sont exhibés au public par les médias, afin qu’ils puissent toujours « poser dans Vogue », par exemple, pour assurer le marketing politique de ceux qui les ou qu’ils financent.
(Il devrait normalement être difficile de transformer le Président de l’Uruguay, « Pépé » Mujica, en « gravure de mode », sans l’argent des Etats-Unis…)