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Equateur Mexique

Calderón parle finalement et exige justice pour les mexicains assassinés par la Colombie

Le président du Mexique, Felipe Calderón, a durci vendredi devant son homologue équatorien Rafaël Correa le ton de son discours contre l’attaque colombienne à un campement des FARC en Équateur, en exigeant la justice pour le meurtre de quatre étudiants mexicains dans le massacre.

« Nous ne nous sentirons pas satisfaits tant que l’on n’aura pas éclairci pleinement ces circonstances et que l’ on n’aura pas fait la justice que les parents réclament », a dit Calderón presqu’à un mois et demi après l’attaque, pendant la cérémonie de bienvenue à Correa, qui est arrivée au Mexique la nuit de jeudi pour une visite officielle de trois jours.

Calderón a assuré que son pays « a condamné et condamne la violation à l’intégrité territoriale de l’Équateur et réitère l’importance que règne le dialogue et la concorde » en Amérique latine.

Pour sa part, Corroea, qui est arrivé accompagné d’un comité de huit ministres, a remercié son interlocuteur pour l’ appui du Mexique lors du sommet de Saint-Domingue face à l’attaque de la Colombie.

« Nous sentons tous que la légende solidaire ce n’est pas une histoire, ni un fragament de la mémoire mais l’expression profonde de l’exercice de la démocratie, la sensibilité et l’arrogance du peuple de Benito Juárez », a t-il déclaré.

Calderón, qui a qualifié le conflit entre Équateur et la Colombie « de particulièrement pénible pour le Mexique » suite au décès des étudiants, a réitéré ses condoléances aux parents et a apprécié l’attention offerte par le gouvernement de Correa à l’étudiante mexicaine blessée qui a survécu à l’attaque colombienne (...).

TeleSUR - Afp/av - AV

»» Calderón finalmente habla y exige justicia para mexicanos asesinados por Colombia
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Je définirais la mondialisation comme la liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales.

P.Barnevick, ancien président de la multinationale ABB.

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