Janvier 2016, Jean d’Ormesson à Manuel Valls : « Toute la France s’est droitisée, le PS s’est droitisé, Hollande s’est droitisé, et vous, je ne veux pas vous insulter, mais vous vous êtes droitisé ».
Mars 2016, Eddy Mitchell : « Si Hollande et Valls sont de gauche, je suis curé ».
Vous ai-je dit que Macron n’a jamais adhéré au PS et que son coup de cœur juvénile fut pour la banque où il fit fortune en peu de temps en spéculant ?
Avez-vous lu ICI ce qu’ils nous ont fait depuis 2012 ?
On me dit que le Mouvement des Jeunes Socialistes existe encore. Je suppose que ce sont essentiellement des obligés du PS : filles et fils de militants, d’apparatchiks, d’élus municipaux, d’employés de mairie ou de collectivités locales (le PS est un gros employeur). Ou encore des salariés de Mutuelles, des jeunes cadres de cabinets conseil ou de bureaux d’études, des étudiants ambitieux et déjà roublards ou encore des ouvriers d’entreprises de travaux publics ou d’imprimeries travaillant pour le PS, etc.
C’est là que cuit leur bouillie comme naguère celle de leur père.
Se moquant des jeunes Républicains Indépendants (de Giscard d’Estaing), Jean Ferrat chantait : « Comme le pétard à la fusée/Le silex à l’énergie cosmique/Leur avenir est dans les musées ».
Théophraste R. (Ouvreur de sarcophages et dérouleur de bandelettes des momies).
La chanson de Ferrat : ICI