En un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, Zanini, un musicien de jazz français, rencontra le succès avec une chanson idiote qui disait :« Tu veux ou tu veux pas/Tu veux c’est bien /Si tu veux pas tant pis /Si tu veux pas/J’en f’rai pas une maladie /Oui mais voilà réponds-moi /Non ou bien oui /C’est comme ci ou comme ça /Ou tu veux ou tu veux pas… »
Sur le même thème, on peut préférer René Descartes : « Et bien que nous ne puissions avoir des démonstrations certaines de tout, nous devons néanmoins prendre parti, et embrasser les opinions qui nous paraissent les plus vraisemblables, touchant toutes les choses qui viennent en usage, afin que, lorsqu’il est question d’agir, nous ne soyons jamais irrésolus. Car il n’y a que la seule irrésolution qui cause les regrets et les repentirs »(1).
Il en est des hésitations de Hollande à se présenter en 2017 comme de celles des électeurs qui ne veulent pourtant (ainsi qu’on le lit dans un article ci-dessous) ni des prédateurs du pays, ni de « leurs complices matois badigeonnés en vert, ou en rose, ou en bleu-blanc-rouge sur du vert-de-gris ».ICI
Quant à moi, j’ai un truc pour trancher : je repère le candidat que la classe politico-médiatique diabolise le plus et je vote pour lui.
Théophraste R. (Tous z’ensemble, tous z’ensemble, ouais !).
(1) Extrait de « 200 citations pour comprendre le monde passé, présent et à venir », présentées par Viktor Dedaj et Maxime Vivas. Editions la Brochure.