En Colombie, ces autobus en bois sont appeles “Chivas” et “Chivitas” en diminutif affectif .. on utilise beaucoup les dimunitifs affectifs pour s exprimer , pour tout. Maxime > Maximito , Viktor > Viktorito, Theophraste > Theophrasito
Ces autobús traditionnaux ne sont plus utilises que pour les transports de travailleurs et pour toutes les “truchas” raccourcis .. ou tous les chemins en terre des “veredas” les hameaux. Beaucoup de “fincas” fermes n ont uniquement que des sentiers muletiers au mieux , souvent des anciens sentiers indigenes .. Ces “fincas” peuvent etre a une heure .. plusieurs heures ou des jours des routes principales . Donc tout , materiaux de construction , alimentation autre que ce que produit la “finca” ,et aussi les eleves pour aller a l ecole , doit forcement emprunter ces sentiers . Au mieux a dos de mules ou de petits chevaux locaux , ou pirogues pour la región amazonienne , sinon a dos d hommes . Comme il pleut beaucoup , les bottes caoutchouc sont de rigueur , les memes que les guerrillas. Dans encore beaucoup d endroits, les enfants vont pieds nus , mais jamais de vetements en lambeaux et toujours propres malgre la boue. Les paysages de montagnes ,tres verts , les cascades , les animaux , les oiseaux ..magnifiques . Et l amabilite et l hospitalite legendaires des peuples colombiens des campagnes. Et il n y a pas de moustiques , trop en altitude et un peu froid ..je repete IL N Y A PAS DE MOUSTIQUES ..0=) bon , aucun touriste non plus a pomper …
Voila , cette video , c est le trajet exact que je vais faire dimanche , je suis invite par des bons amis campesinos de ce coin .. C est a 1 heure et demi de chez moi , donc proche .. et 10 minutes a vol d oiseau … le trajet pour la journee coute 10 000 pesitos , environ 3 ou 4 de vos euros.
Je me reserve une place sur le toit , c est plus drole, ça danse plus, et plus joli aussi. Et le trajet est toujours tres joyeux , on se conte des histoires droles ..mon epouse en connait des milliers de memoire.
Voila , ce n est pas souvent que je parle de ma vie colombienne , ordinaire , simple et solidaire, comme j aime . C est cela ma Colombie et j adore ce monde la.
Ne louper pas cette video , besitos a tod@s de “mi mundo de las montañas” .
http://youtu.be/3VVP17HQKfo
Ce qui m’étonne c’est que cet *** de Macron n’ait pas plutôt suggéré le vélo, le pousse-pousse, voir le char à bœufs....
(CUBA) "Tant qu’il y aura l’impérialisme, nous ne pouvons nous permettre le luxe du pluri-partisme. Nous ne pourrions jamais concurrencer l’argent et la propagande que les Etats-Unis déverseraient ici. Nous perdrions non seulement le socialisme, mais notre souveraineté nationale aussi"
Eugenio Balari
in Medea Benjamin, "Soul Searching," NACLA Report on the Americas 24, 2 (August 1990) : 23-31.
Je vous transmets le bonjour très affectueux de plus de 15 millions d’Équatoriennes et d’Équatoriens et une accolade aussi chaleureuse que la lumière du soleil équinoxial dont les rayons nous inondent là où nous vivons, à la Moitié du monde.
Nos liens avec la France sont historiques et étroits : depuis les grandes idées libertaires qui se sont propagées à travers le monde portant en elles des fruits décisifs, jusqu’aux accords signés aujourd’hui par le Gouvernement de la Révolution Citoyenne d’Équateur (...)
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« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
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Didier Lombard, ex-PDG de FT, a été mis en examen pour harcèlement moral dans l’enquête sur la vague de suicides dans son entreprise. C’est le moment de republier sur le sujet un article du Grand Soir datant de 2009 et toujours d’actualité.
Les suicides à France Télécom ne sont pas une mode qui déferle, mais une éclosion de graines empoisonnées, semées depuis des décennies.
Dans les années 80/90, j’étais ergonome dans une grande direction de France Télécom délocalisée de Paris à Blagnac, près de Toulouse. (...)
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