L’ "Europe" n’est pas plus une union économique que culturelle.
S’il existe une entité géographique au monde où la concurrence économique fait rage entre les Etats et leurs peuples, dressés en l’occurrence les uns contre les autres, c’est bien la f(u)ameuse "union européenne"...
La culture est une infinie variation sur le thème de l’existence humaine. C’est dire si la culture n’a aucunement besoin d’union pour exister. La condition humaine étant la même partout dans le monde (concept "culturel" s’il en est), seuls diffèrent le génie des créateurs et les moyens mis en œuvre pour la décrire. La culture, en ce sens, est dévoyée, continûment réduite à l’utilitarisme et soumise à l’idéologie, d’où qu’ils proviennent. La culture possède même en France son exception – un des plus puissants vecteurs d’asservissement des cerveaux que l’homme ait jamais mis en œuvre.
Comme les cons, les "progressistes" (les "progressistes occidentaux") osent tout, c’est même à cela qu’on les reconnaît. Ex. : passer un opéra de Mozart à la moulinette du féminisme ambiant est parfaitement répugnant, révélant de surcroît un contre-sens absolu, typique de l’état de la culture aujourd’hui (la culture euromondialiste), devenue une industrie alimentaire dont les produits sont de plus en plus médiocres avec date de péremption, ou obsolescence programmée comme dans la technique. Produit musical emblématique de la "culture" d’aujourd’hui : le rock, à la musique ce qu’est le hamburger à l’art culinaire ; produits d’asservissement idéologique au format actuel : les séries télévisées ; lieu priviligié de propagande libertaro-gauchiste, les romans policiers de la collection le Poulpe, etc...