Une élue socialiste dit que DSK a essayé de violer sa fille, écrivain, en 2002 et que Laurent Fabius et François Hollande étaient au courant.
Toute la classe politico-médiatique savait que DSK avait un talon (hum) d’Achille. Qu’il était addicte, dépendant, pulsionnel et que ce « point faible » risquait d’avoir des conséquences sur la liberté de mouvements et de décisions d’un président de la République et sur sa capacité pleine et entière à résister aux pressions et aux chantages.
Il n’empêche que les sondeurs, propriétés des oligarchies, l’avaient pré-choisi pour représenter la gauche en 2012 (comme ils firent en 2007 avec Ségolène Royal) et que la direction du PS, avec ses « primaires » bidons s’apprêtait à officialiser.
Les mêmes enfumeurs enfourchent à présent le cheval Hollande. Un trrrrès bon socialiste : il a perdu du ventre et changé de lunettes, c’est dire.
Théophraste R. (qui n’oublie pas que le FMI court toujours, et que Jaurès refuse de ressusciter, hélas !).
PS. Le chant auquel nous avons échappé :
« Je suis strauss-kahnien
Voilà ma gloire,
Mon espérance et mon soutien,
Mon chant d’amour et de victoire… »
Je suis strauss-kahnien
Je suis strauss-kahnien. »
Un an comme ça !