Néanmoins, le Grand Soir a réussi à se procurer les rushs. Voici une scène qui sera probablement coupée au montage.
Intérieur Nuit, dans une villa luxueuse au Pakistan. La porte d’entrée est défoncée. Des troupes d’élites s’engouffrent en position de tir. Le héros (OUSSAMA) entre dans le couloir, ébouriffé, habillé en robe de chambre. Il tient un narguilé.
OUSSAMA : Ben alors, vous avez perdu les clés ? Vous auriez pu sonner. Vous m’avez fichu une des ces trouilles... j’ai cru à un attentat. Entrez, j’étais justement en train d’écrire mes mémoires et il y a un détail sur lequel je coince... (soudain pensif) Quel jour on est ? C’est pas demain qu’on devait partir pour la nouvelle planque, celle avec une piscine immense ? J’sais plus... ça doit être ce tabac afghan... il te file une de ces claques. (il tend le narguilé) Vous en voulez ?
PREMIER SOLDAT : Attention ! Il est armé !
Théophraste R.
(chacun son cinéma)