
Ah ! la neutralité bienveillante des « anti-conspirationnistes » à l’égard des conspirationnistes qui alimentent si bien les rumeurs et bobards qu’il aura fallu attendre dix ans pour que la Justice dise si la responsabilité de Total est engagée dans l’explosion d’AZF le 21 septembre 2001 : 31 morts et plus de 2500 blessés, des milliers de bâtiments (maisons, entreprises, piscines, gymnases, salles de concert, lycée) touchés ou détruits jusqu’au centre de la Ville rose).
L’explosion ? Un mystérieux hélicoptère, un intérimaire arabe kamikaze, une bombe de la seconde guerre mondiale, l’effet de choc d’une explosion dans l’usine voisine qui fabrique le carburant pour la fusée Ariane, un arc électrique d’une ligne EDF, un rayon laser partant du Mirail (population immigrée), etc.
Depuis dix ans, des espèces de « Reopen921 » (à ne pas confondre avec les Reopen911) se répandent librement dans les médias pour écarter la thèse de l’accident.
Sans présumer des causes de ce qui s’est passé le 11 septembre 2001 à New York et 10 jours plus tard à Toulouse, il est permis de remarquer la différence de traitement entre les suspicieux qui accusent Bush et ceux qui dédouanent Total.
Et les « anti-conspis » se taisent, se taisent, se taisent.
Tiens, pourquouâââ ? demande l’ignorant clown Auguste au clown Blanc qui sait tout, puisqu’il présente le JT.
LGS