Interrogés par France Inter, ces fers de lance du mouvement, notamment Alain Gessmar semblent aujourd’hui de bons bourgeois revenus de tout. Ça fait triste...
Mais quoi qu’il en soit, chaque époque contient et ses monstres et ses sauveurs. On fait confiance à la société pour l’avènement d’une nouvelle jeunesse rebelle et réactive. L’attentat de l’Aude recouvre d’un couvercle de plomb moral tout le bouillonnement des facs. Pour combien de temps ?