RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Athènes : un hôpital suspend les chimiothérapies

L’Association Médicale d’Athènes a dénoncé l’annulation des chimiothérapies programmées la semaine passée à l’hôpital Laiko en raison du manque de médicaments.

Selon les responsables de l’hôpital, les patients atteints du cancer ont été prévenus que les thérapies prévues étaient annulées en raison du manque de médicaments oncologiques.

Ils déclarent :« Le report des thérapies peut avoir une conséquence défavorable sur leurs résultats et constitue de toute manière une violation des bonnes pratiques scientifiques.. Cela ajoute aussi une grande souffrance au groupe fragile des patients atteints du cancer qui viennent, pour beaucoup, de la province pour suivre leur thérapie. Cette situation inacceptable ne peut pas durer. »

Au cours de l’année dernière, le personnel soignant et les malades ont informé l’ Association Medicale d’Athènes,comme le souligne son président, de sérieux manques qui rendent problématique le fonctionnement des hôpitaux et mettent les malades en danger.

L’Association Médicale d’Athènes exprime sa forte inquiétude devant l’incapacité des hopitaux publics à se procurer les médicaments et produits nécessaires à leur bon fonctionnement.

Traduction Palili

http://kinisienergoipolites.blogspot.fr/2017/01/a.html

»» http://kinisienergoipolites.blogspot.fr/2017/01/a.html
URL de cet article 31442
   
Thomas Frank. Pourquoi les pauvres votent à droite ? Marseille : Agone, 2008.
Bernard GENSANE
Rien que pour la préface de Serge Halimi (quel mec, cet Halimi !), ce livre vaut le déplacement. Le titre d’origine est " Qu’est-ce qui cloche avec le Kansas ? Comment les Conservateurs ont gagné le coeur de l’Amérique. " Ceci pour dire que nous sommes en présence d’un fort volume qui dissèque les réflexes politiques, non pas des pauvres en général, mais uniquement de ceux du Kansas, dont l’auteur est originaire. Cela dit, dans sa préface, Halimi a eu pleinement raison d’élargir (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« (...) on a accusé les communistes de vouloir abolir la patrie, la nationalité. Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ravir ce qu’ils n’ont pas. Comme le prolétariat de chaque pays doit en premier lieu conquérir le pouvoir politique, s’ériger en classe dirigeante de la nation, devenir lui-même la nation, il est encore par là national, quoique nullement au sens bourgeois du mot. »

Karl Marx, Friedrich Engels
Manifeste du Parti Communiste (1848)

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.