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Honduras / Colombie : Quand le vice-président colombien, en visite au Honduras, demandait un "Bloc paramilitaire"

par Dick Emanuelsson

Tegucigalpa le 13 janvier 2010 - Le vice-président Francisco Santos s’est mis les mains et les pieds dans la masse gluante de la "parapolitique’ en Colombie. Mais il salue et reconnaît le coup d’État au Honduras durant sa visite à Tegucigalpa, invité par des entrepreneurs honduriens.

Le vice-président colombien Francisco Santos a dit à l’agence de presse AP dans sa visite au Honduras, que "la leçon de dignité que le Honduras a donnée à l’Amérique Latine et au monde mérite d’être applaudie et appuyée... et, dans ce sens, la Colombie est aux ordres des honduriens".

Il n’y a aucun doute, et le président à lvaro Uribe lui-même l’a confirmé quand il a reçu la délégation du régime de facto de Micheletti quand celle-ci avait eu son premier contact à San José du Costa Rica avec Oscar Arias et la délégation du président Zelaya. La délégation n’est pas rentrée à Tegucigalpa mais a continué sa tournée au Panama et à Bogotá, se réunissant avec Martinelli et Uribe qui ont en commun d’être des pantins du Pentagone, qui ont permis à respectivement sept et quatre bases militaires américaines de s’installer sur leur territoire national. Selon la délégation de Micheletti et le quotidien El Heraldo, Uribe a montré une sympathie pour les événements du Honduras. Maintenant ceci est confirmé par le vice-président lui-même.

http://www.primitivi.org/spip.php?article203

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DETTE INDIGNE ! QUI SONT LES COUPABLES ? QUELLES SONT LES SOLUTIONS ?
Jean-Jacques CHAVIGNE, Gérard FILOCHE
« Euro-obligations », « règle d’or », « gouvernance européenne », « fédéralisme budgétaire »… la crise de la dette qui ébranle la France et l’Europe donne lieu à une inflation sans précédent de termes économico-financiers dans les médias et dans les discours des dirigeants politiques. Pour les citoyens, ce vocabulaire, souvent obscur, dissimule une seule et même réalité : un gigantesque mouvement de transfert des dettes privées (en particulier celles des banques) vers les dettes publiques (…)
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Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin.

Henry Ford (1863-1947)

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