En décembre 2002, le gouvernement et les parlementaires avaient voulu supprimer la gratuité des soins pour les bénéficiaires de l’AME. Devant la mobilisation des associations et des professionnels de santé, le gouvernement avait accepté de ne pas appliquer ces mesures en suspendant le décret d’application. Il avait annoncé cette décision dans notre centre d’accueil, de soins et d’orientation parisien.
Mais aujourd’hui la santé des plus pauvres est une nouvelle fois la cible du gouvernement qui leur rend impossible de fait l’accès aux soins en multipliant les obstacles et les délais.
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