Claude Sahy tu es loin d’etre un journaliste tout simplement tu es moins documenté et tu n’as pas relaté les faits comme ils devraient l’etre.
La constitution ivoirienne n’a en aucun de ses articles ni alinéa fait mention de l’ivoirité. L’ivoirité n’est pas un programme de gouvernement. Ce n’est pas cela la cause de la crise ivoirienne. La crise ivoirienne est d’ordre économique. La France veut notre or, notre nickel, notre pétrole découvert par les américains et c’est pour cette cette raison qu’elle a armé des musulmans (selon les dires des médias occidentaux (RFI TV5 BBC))pour attaquer le pays.L’identification de la population se fait dans tous les états développés du monde.
Pourquoi cette crise est passé de la démobilisation de quelques militaires ivoiriens à l’opposition d’un nord musulman au sud chrétien. Je vais vous dire une chose Quand les militaires ivoiriens sont entrés à Bouaké, quel est cet avion quia décollé à Paris avec des armes sophistiquées et qui est passé en Sierra leone via le mali et le Burkina Faso et a atteri à Bouaké avec des mercenaires français, sierra leonais, burkinabés augmentant le nombre de rebelles de 750 à 25 000 rebelles. Pourquoi la France élève la voix quand les Mi-24 sèment la terreur dans les rangs rebelles. Encore le Bombardement de Menakro où la France a crié partout que les militaire ivoiriens violent le cessez le feu, le savez-vous ? Les rebelles qu’on a qualifié de civils n’étaient autre que les instructeurs français opérant aux cotés des rebelles. Ils les entrainaient au tir de missile SAM7.
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En septembre 2002, quand la rébellion a éclaté, il y avait à peu près 650 rebelles qui avaient occupé la seconde grande ville, Bouaké. Ces rebelles étaient les recrues de Guéi qui n’avaient pas été retenues dans l’armée. Ils avaient peu d’équipement et peu de munitions, car ils s’attendaient à un conflit qui durerait moins de cinq jours. Le président Gbagbo était à Rome pour rencontrer le Pape, et les rebelles, profitant de l’occasion, étaient sûrs qu’ils pouvaient réussir le coup en l’absence du président qui se trouvait hors du pays. Mais quand l’attaque a été déclenchée, les troupes loyalistes ont répliqué. Elles avaient même réussi à encercler les rebelles en les piégeant dans toute la ville et avaient tué à peu près 320 d’entre eux. Elles s’apprêtaient à lancer l’assaut final sur les 320 rebelles restants quand elles ont été brusquement freinées dans leur élan par le commandant français qui dirigeait les troupes françaises stationnées en Côte d’Ivoire. Ce dernier a demandé 48h de cessez-le-feu afin d’évacuer les ressortissants français et quelques fonctionnaires des Etats- Unis de la ville. Les loyalistes ont demandé d’attendre qu’elles prennent d’abord Bouaké en y chassant les rebelles mais les français ont fermement insisté sur le délai obtenu. Durant tout ce temps, les soldats français descendaient sur Bouaké à l’aide de parachutes pour prêter main forte aux rebelles. Il était alors devenu impossible pour les loyalistes d’éviter l’affrontement avec les troupes françaises s’ils devaient lancer l’assaut sur les rebelles.
Profitant de ces 48 heures, l’armée française avait commandé trois avions Antonov- 12 affrétés qui se trouvaient à Franceville au Gabon. Ceux-ci contenaient tout le nécessaire militaire fourni par la France à partir de l’Afrique centrale. Des chargements supplémentaires ont été acquis à Durban. Les avions affrétés survolaient le territoire du Nimba, au Liberia (vers la frontière ivoirienne) et aussi les zones assiégées par les rebelles en Côte d’Ivoire (Bouaké et Korhogo) où ils donnaient un coup de main aux rebelles. Des camions de transport de marchandises déversaient des combattants civils rebelles en provenance du Burkina Faso à destination de Korhogo. Une fois à destination, on distribuait à ces combattants les équipements que les français avaient fait venir de l’Afrique centrale et de l’Ukraine.
A partir de ce moment, il y eut 2500 soldats armés essentiellement des mercenaires venus du Liberia et de la Sierra Léone qui étaient aussi embarqués dans les mêmes avions. Ils étaient armés de kalachnikovs et autres armements qui n’avaient jamais fait partie de l’arsenal militaire ivoirien. Par la suite, la France leur a fourni un équipement de communication très sophistiqué. Les officiers ivoiriens savaient que les rebelles étaient toujours informés de leurs actions parce que les français et les rebelles possèdent les mêmes équipements en communication et écoutent à travers les ondes de fréquences de l’armée ivoirienne. (je précise qu’une station de télécommunication dressée par les forces françaises pour les rebelles à Tiébissou fut bombardée pat les Mi-24. Ce qui a fait dire aux militaires français qu’il y avait des mercenaires dans l’armée ivoirienne) Une fois les rebelles réarmés et équipés, les français se sont graduellement retirés, laissant le contrôle des opérations entre les mains de mercenaires recrutés en Europe de l’Est et qui travaillent en coordination avec les français qui se sont repliés sur Yamoussoukro. Quand les Français ont fini de positionner les rebelles, ils ont actionné les Nations unies pour obtenir la résolution les désignant comme chargés du maintien de la paix. La paix n’était pas facile à obtenir d’autant plus que les rebelles armés ouvraient plusieurs fronts et occupaient les grands espaces du pays. Les troupes de la CEDEAO mettaient du temps pour venir et ce n’est que (…) lorsque les troupes ghanéennes ont pris les commandes qu’elles sont arrivées pratiquement composées de troupes africaines francophones formées, équipées et supervisées par les officiers français.