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L’art de l’imperiassionnisme = (l’impressionnisme) démocratique à la congolaise.

J’aimerai par ces quelques mots vous décrire le paysage d’un pays peint par l’artiste de la mort où, l’impérialisme exprime son talent dans toute son horreur. Ce paysage à pour décor un pays en décadence absolu, peint en noire et rouge dans une politique librement interprété selon la vision de la real politik, d’un monde contrôlé par un dominant sur les dominés. Le noir, pour représenter la couleur de ses personnages qui ont le malheur d’habiter dans l’un des pays les plus riches d’Afrique. Le rouge est sans aucun doute la couleur utilisé par l’impérialisme(ou l’artiste) pour brosser le destin de ce peuple. A y regarder de plus près ce tableau nous dévoile un spectacle tout aussi macabre que son concept. Ce spectacle est celui de la politique étrangère voulu et pratiqué par la plupart des fausses puissances qui se cachent dans les ombres que cette fresque sombre arbore. J’aimerai par ces quelques mots, vous dévoilé une science, celle qui consiste à décortiquer ce genre de tableau. L’histoire de l’art de la démocratique république du Congo.
La seule chose que cet art a de technique est son nom, car il n’y a pas de démocratie dans ce pays et est encore moins une république. (Dans le concept que la science politique nous enseigne en ce qui concerne les éléments nécessaire pour être en présence d’une république) c’est-à -dire une démocratie participative, un état souverain, un gouvernement choisi par le peuple et pour le peuple et une nation.
1. Elle n’a rien de démocratique de par sa signification grecque du terme. La démocratie n’appartient qu’à une élite, qui crée ainsi sa propre dynamique. La condition de son inefficacité, qui rend cette démocratie incapable d’atteindre le but de toute démocratie à savoir le bonheur et l’accomplissement du plus grand nombre d’individu, est due au fait que cette démocratie est peinte par l’impérialisme, une main blanche fournisseur d’illusion, pour une réalité noire (la condition africaine) incompatible et sombre (les réseaux qui soutienne l’avènement de tels pratiques). Le post-colonialisme est son lot d’invention sans cesse étonnante pour maintenir l’Afrique sous sa domination se définit d’abord dans l’instauration de la contre insurrection (le trompe oeil). Science absolu de ce peintre faisant croire à la masse africaine à un vrai faux semblant de développement(le concept du white power in a black face= Tous les dirigeants dénoncés par la françafrique) par des effets ombres et lumières. En effet ce concept se contente de poser quelques réalisations ou actes prestigieuses qui n’ont aucune emprise sur la dynamique sociale et économique et qui au final ne permet en aucune manière, la réalisation d’une démocratie.
L’état en république du Congo n’existe pas, nous nous sommes permit de retirer le mot démocratique, car en effet comme nous venons de vous l’expliquer dans les lignes précédentes, la démocratie n’a pas effet dans ce théâtre de farce politique. La seule finalité qu’elle instaure c’est l’accaparement des ressources nationales par la faction au pouvoir et leur redistribution opaque à travers des réseaux qui soutiennent le régime (l’occident=la Belgique), c’est-à -dire une démocratie sans dynamisme sociale par opposition à une démocratie horizontale, détenu par le gouvernement. Pour ce maintenir au pouvoir cette vraie fausse démocratie peint par l’impérialisme utilise deux procédés nécessaire au maintien de toute vrai fausse démocratie : la corruption généralisée (ou l’impressionnisme démocratique = donner l’impression d’un réalisme) et la terreur contre ses propres citoyens (terrorisme d’état).

Autoritaire et despotique, un tel pouvoir appelle fatalement à la violence. C’est ainsi que le peuple congolais souffre des guerres les plus atroces. Guerres où l’arme de destruction massive est le(s) sexe(e)s (en tant qu’organe=pénis) des groupes armés infecté(s) par le sida pour pénétrer et détruire des générations entières. Enfants , jeûnes filles , femmes ,vieilles femmes dans des violences sexuelles les plus obscènes, impudiques, immondes où les sexes de nos soeurs, mères , cousines ,amies sont déchiquetés à la machette , aux couteaux ou tout autre instrument pouvant causer des dégâts biologiques et moraux suite un viol collective . Avec collecte d’organes sexuels féminins arrachés et ingurgités, comme l’accomplissement d’un acte de bravoure militaire pour la régénérescence de leur propre organe (croyance de plus en plus répandue au sein des groupes armées qui proviennent du Rwanda et de l’Ouganda). Les sexes des femmes congolaises deviennent l’objet des cibles de tout calibre (arme à feux) ou après avoir consommé leurs désirs les plus primaires d’une manière barbares, d’autres tirent sans doléance, sans componction, et pénitence, dans cet orifice à l’origine du monde. Dans un seul but terroriser aux profits des multinationaux (soutenu par les gouvernements occidentaux) avides des richesses contenues dans ce pays= sous-sol. (Dont le déplacement de plusieurs populations).

2. Une république, pour la science politique, le mode de domination politique en scène sur cette fresque qui à pour paysage le Congo, l’état n’existe pas ou si oui d’une manière caricaturale. Dans cet impressionnisme politique, l’artiste assouplit l’opposition entre sujet et arrière plan, si bien que l’effet produit par la toile ressemble trop souvent à un cliché, à un mode opératoire semblable et applicable à tous régimes africains. En effet ces genres de pays ont souvent des modèles politiques calqués des pays colonisateurs, sans productions intellectuelles d’organisations politiques, qui requièrent des instruments normatifs et législatifs compatible à une société Africaine. (Où le poids de la culture doit jouer un rôle prépondérant dans la vie de tous les jours et dans l’application des lois). Dans cette fausse république on se borne à exécuter les textes normatifs et législatifs de la société occidentale. (Majoritairement au profit du colonisateur et des multinationaux).
L’état doit se définir comme un espace politique, défendu par un droit juridique, composé d’agents intègres lesquels sont recrutés sur des critères méritocratiques, ou ils valorisent le concept d’état. Cette définition résume l’état occidental pour faire court. L’état occidental se caractérise pour notre par, à une centralisation qui tend à l’uniformisation de la société paradigme incompatible à une société Africaine qui met en avant le groupe plutôt que l’individu. L’africain est un socialiste de nature, l’état ne doit être qu’un instrument au service du peuple, l’outil nécessaire à l’accomplissement du bonheur du peuple. Alors que l’état occidentale est ressenti, pour notre par comme une institution conflictuelle, outil de domination d’une classe social bien déterminée pour imposer sa vision culturelle, économique aux autres classes sociales.
Ce mode de conception étatique y est importé et imposé en Afrique par l’occident, société gouverné par une classe dominante (l’oligarchie au pouvoir), pour s’emparer des richesses du continent africain.

C’est ainsi qu’on y voit l’imposition par l’impérialisme des mercenaires politiques (le président actuel KABILA)=white power in a black face. Ces genres de politicien mercenaire(ou marionnette apolitique) ont créé un réseau qui nourrit l’impérialisme et leur intérêt personnel, en favorisant à des postes des éléments étrangers et nationaux (collaborateurs), des individus sans scrupules qui pillent les immenses richesses de ce pauvre pays(en terme d’infrastructure industrielle).
L’élément le plus perturbateur dans cette société (congolaise), c’est son incapacité récurrente à se dépasser et à trouver ces propres contradictions. En effet les institutions internationales telles que le fournisseur de misère international (FMI) établissent une véritable dictature économique qui étouffe la population civile ou tout autre secteur à s’accomplir ou à se développer. La capitale KINSHASA est connue pour ces chanteurs et danseurs chantant et dansant sur des rythmes cadencés, créant ainsi une société fondée uniquement sur la recherche du plaisir, encouragé par le gouvernement en place, sorte de contre insurrection pour vider le pays de ses richesses sans un regard critique de ses citoyens. Des concerts gratuits en plein air y sont organisés pendant des longues heures conduisant ainsi à une véritable décadence des moeurs.
Pour qu’une société fonctionne et se pérennise, il faut qu’il s’y établisse une hiérarchie de valeur entre le travail nécessaire à la production de la vie et le plaisir qui permet de rendre le premier plus acceptable. Or, la société congolaise développe chez ses membres la déresponsabilisation comme trait de caractère fondamental. Ainsi au lieu de la propension à travailler, à entreprendre, à innover, nous assistons impuissants à l’avènement d’une société fondée sur l’abus des plaisirs, sur une mentalité consumériste : « le boire, le manger » l’habillement à la mode occidental où, le prestige de l’être parait primaire et les revendications transcendantes du groupe secondaires. Le parasitisme (facilité par des organismes de transfère d’argent tels que western union etc.….), la facilité et finalement la médiocrité (l’individu incapable de produire), autant d’handicaps, qui détruisent le potentiel vital d’une société. Il faut bien reconnaitre que c’est la prise en compte de la crise en profondeur de la mentalité congolaise qui nous fait comprendre la nature même de la crise au pouvoir.

En effet elle se décrit elle-même comme un pouvoir qu’elle n’est pas. Elle veut se décrire comme un pouvoir rigoureux, alors qu’elle possède tous les attraits d’un pouvoir arbitraire, irrationnel, prédateur, violent qui exprime un caractère illogique et terrifiant. Échappant ainsi au contrôle de la volonté des congolais, car ce pouvoir provient de l’inconscience de sa propre population produit des traumatises majeures hérités de la colonisation. L’expérience du mobutisme et les guerres de procurations soutenues par l’occident. Voici à quoi ressemble ce tableau peint par (l’impériassionnisme) avec le rouge comme couleur de la mort et le noir en toile de fond. Cette impériassionnisme en crise ne vole plus que nos richesse, mais aussi nos jugements, nos destins, nos volontés, nos humanités, la volonté issue de la par de l’artiste est ainsi prépondérant, ses repères ainsi traditionnels de la toile mondiale, (ombres)= (des réseaux opaques tels que la françafrique), contours précis et lignes arrêtées (décisions prises unilatéralement comme par exemple la guerre en Irak) de mode de conception de la puissance globale devient terrifiante.

Écrit par kitaya ndongala pafi (shomari) membre et traducteur du mouvement uhuru dans le cadre des travaux d’Omali yeshitela fondateur de ce même mouvement pour une dialectique de la révolution noire (the dialectics of the black révolution) www.uhururadio.com

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