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Ambitions inassouvies d’une zaouïa* tibétaine

par Ali Brahimi

Le citronnier, en arabe l’arbre du limon, composé du mot « li », le jaune en chinois, est un agrume d’origine asiatique.

D’après certains connaisseurs en la matière, il semblerait que la couleur jaune est le symbole de la timidité, du calme, de la sagesse et qu’elle égaye les enfants. La chair juteuse acidulée après maturation du citron, donne envie aux femmes enceintes d’en goûter. Ce penchant est notoirement connu. Le thé, quant à lui, constitue pour les Chinois toute une culture mythique liée à sa préparation et dégustation. Et bien d’autres attirails, mêlés aux légendes, en tous genres, ainsi qu’à des réalités aussi bien en Chine qu’ailleurs.

Dans le pays de la Grande Muraille et de la cité interdite pluri-millénaire, le jaune citron est presque une coloration sacralisée. Avec celle orange, couleur appréciée des Tibétains - t’chini en dialecte algérien et t’china pour désigner le fruit de l’oranger introduit par les Arabes au Portugal au début du deuxième millénaire, d’où sa déclinaison - elles constituent un ensemble harmonieux, nuancé et chatoyant, qu’on retrouve partout dans les villes et les maisons chinoises. La limonade à base de jus de citron, édulcorée au miel d’abeille et le tout dilué dans de l’eau fraîche, est un excellent rafraîchissant et... assouvissant.

Comme pour le thé, un autre breuvage désaltérant en toute saison, servi à chaque coin de rue de Pékin ainsi que dans ses lieux de prédilection où on le retrouve agrémenté d’une tranche de... citron, et parfumé par d’autres élixirs. Un délice réconfortant. C’est aussi un digestif apprécié partout, et absorbé en toute saison. Les Anglais, charmés anciennement par sa saveur et son odeur, l’ont adopté merveilleusement et lui ajoute du lait. On l’appelle le thé anglais devenu aujourd’hui sacré, par exotisme et surtout pour ses constituants énergétiques stimulant l’activité physique et intellectuelle et, à ce titre, le servent régulièrement lors de leur petit déjeuner et collation du soir. Une coutume désormais bien ancrée au sein de la société anglaise. Dans nos contrées africaines, notamment au Sahara, un individu arrive à consommer pas moins d’un quart de litre de chaï - sa dénomination originelle - par jour. Mentholé et accompagné de cacahuètes, il réjouit les soirées familiales, et s’il est consommé avec une galette d’orge, il devient alors un en-cas nutritif et consistant apprécié par les caravaniers et des gens du Grand Sud. Dans des lieux d’Afrique du Nord, on le sert avec des beignets au petit déjeuner. Ses usages et ses bienfaits sont multiples, comme pour toutes les labiacées.

Anciennement, la civilisation chinoise a apporté beaucoup de connaissances et de savoir-faire au profit de l’humanité. D’après des recherches poussées anthropologiques concluantes, on a dénombré toute une série d’inventions diverses. En agriculture, par exemple, outre la brouette à roue utilisée pour divers usages, on a recensé d’autres créations non moins utiles, datant de plus de 4000 ans avant J.-C., telles que la houe, des faucilles de toutes tailles, la bêche en _pierre et bien d’autres outillages étonnants. En production vivrière, le millet en premier et le riz en second ont été sélectionnés, depuis des lustres, par les Chinois qui les ont massifiés et cultivés à grande échelle, et ont constitué les aliments de base de plus d’un tiers de la population mondiale du siècle dernier. Le soja, une légumineuse également d’extraction asiatique, est un autre aliment complet de premier plan dans l’économie et la culture alimentaire chinoise et du monde d’aujourd’hui. Nutritif pour tous les âges, on le donne en laitage aux bébés et mélangé avec du... thé pour les adultes, notamment ruraux situés aux tréfonds de l’Himalaya, d’où peut-être le thé anglais d’origine hindouiste. C’est un substitutif avéré aux protéines animales, en tout point de vue. C’est la raison pour laquelle on y trouve moins de bovidés dans les traditions agraires et culinaires du peuple chinois. En revanche, l’élevage de vers à soie était développé depuis la nuit des temps. Il avait même permis d’ouvrir une grande et longue route intercontinentale dite celle de la soie. Une épopée, chargée de féeries humaines, grâce à une... chenille d’insectes. Ces derniers constituent, pour la civilisation chinoise, des symboles d’organisation sociale en tous genres d’utilités. Ils ont le sens microscopique et de l’efficacité utilitaire des choses de la nature. C’est ainsi !

Le plus gigantesque ouvrage qu’a connu l’humanité depuis des millénaires dans le domaine du génie civil, est incontestablement l’inégalable et fantastique muraille de Chine. Du monumental à travers les âges et pour bien longtemps encore. Sur un autre plan, certains travaux poussés en recherches paléontologiques affirment que des chasseurs asiatiques ont traversé, dès le dernier âge glaciaire, soit 30.000 ans environ av. J.-C., le détroit de Béring et vont peupler, « soleil levant » les orientant et les encourageant, le Nouveau Monde. Celui devenu, par la suite, des Indiens édificateurs des civilisations maya et aztèque, dont nous connaissons le destin tragique pour la majorité de leurs peuplades aussi bien du nord que du sud de l’Amérique post-colombienne. Et par qui il a été scellé ! Toutefois, celles nouvellement migrantes ont engendré également des lumières au profit de l’humanité. Cela de va de l’illuminé Thomas Edison à Albert Einstein, le père de la relativité et bien d’autres luminances. Ainsi va le monde, depuis toujours ! Ceci pour dire, en quelques points succincts, que la Chine pluri-millénaire appartient au patrimoine existentiel de l’humanité. Son histoire, son présent et son avenir, aussi !

Cette nation avait connu de grands et petits empires, dont tibétains, qui se sont succédé dans des traditions et religions propres au tempérament du genre humain asiatique, dont certains ont duré plusieurs siècles. Beaucoup d’entre eux ont provoqué famines et guerre civiles. Ce qui avait instauré des cycles d’anarchie, sur tous les plans, mais aussi des époques fastes, d’abondance et de sagesse. Les grandes pensées de Confucius, entre autres, sont pleines non seulement de pénétrance d’esprit, mais, surtout, elles ont instauré au sein de la société chinoise une raison d’être, un sens donné à la vie d’un genre spécifique : le bouddhisme en est la base religieuse et l’incarnation des âmes un don surnaturel ; la vision cosmique du monde matériel et immatériel, sa perspective et son spirituel. Un autre état d’esprit d’où il est difficile, pour beaucoup de gens, d’en analyser le substrat philosophique caractérisant le dynamisme des sociétés asiatiques, notamment chinoise, traversées par des déchirements existentiels - comme pour toutes les nations du monde - et de « singularités » comportementales, du moins telles que nous les percevons.

Au cours du siècle précédent, le communisme dit marxiste-léniniste, puis franchement maoïste, fut « introduit » dans un contexte idéolo-stratégique de voisinage assez connu. Cela avait permis d’organiser la société chinoise sur des bases collectivistes qui, en vérité, sont ancrées dans la tradition chinoise. Par contre, ce qui ne l’était pas, c’est l’uniformité culturelle de la pensée « du communisme international ». Le bouddhisme étant l’antithèse. Un autre point étonnant et édifiant, méritant d’être signalé à plus d’un titre : c’est la seule nation qui a su profiter, à merveille, de cette expérience dans certains domaines, dont l’organisation pré-capitaliste des moyens de production, du travail et des échanges commerciaux internationaux liés. La preuve. Cela s’est accompagné, également, de bouleversements sociétaux internes, notamment élitistes, et dont leurs prolongements sont imprévisibles dans le long terme. Avec tous les risques et périls ! A ce titre, la Chine reste menacée par tant d’aléas aussi bien naturels, géopolitiques, économiques et ethniques...

Dans ce même ordre d’idées, la démocratisation des états d’esprits de près de 1,3 milliard d’individus n’est pas une mince affaire, ni dans le temps ni dans l’espace. Les levées de boucliers, supervisées par certains cercles politico-médiatico-financiers internationaux connaissant bien les limites de ce pays en la matière, prônant le boycott des prochains jeux Olympiques, à cause de l’autonomie de Tibet justifient-t-ils, ont, en vérité, des buts tout autres que le bien-être des peuplades tibétaines. En revanche, qui sait, les dirigeants chinois actuels espèrent, à travers cette occasion, permettre au monde d’observer la vie chinoise et ses attraits dans ses différents aspects, et, à partir de là ambitionnent d’éperonner ses élites intergénérationnelles afin qu’elles se propulsent vers plus d’ouverture, de cohésion idéologique et ethnique, de confiance en soi, et, pourquoi pas, vers plus de libertés démocratiques du simple fait de l’évolution des choses de la vie, dont ces olympiades justement. Qui sait ?

Et, c’est peut-être pour cette raison, justement, que des cercles internationaux d’influences, redoutant cette perspective, insistent pour faire éteindre, au cours de son parcours vers sa destination sportive, la flamme olympique qui appartient à tout le monde et non seulement à la Chine. En vérité, ce qui est admis désormais et constitue réellement le coeur du problème en question - le président américain actuel l’avait annoncé subrepticement une ou deux fois par le passé -, c’est bel et bien l’expansionnisme économique financier et... militaire ; craint-on (?) que la Chine est en train de massifier tous azimuts tout en l’inscrivant, à sa manière cependant, dans la compétitivité à ciel ouvert grâce à ses méthodes de travail et le libre-échange franchement affiché, notamment avec les pays en voie de développement - dont le nôtre - en train d’aménager leur territoire, d’exploiter de nouvelles richesses et d’aspirer enfin au progrès humain.

Donc, à qui profite cette campagne de dénigrement vis-à -vis de cette grande nation, par régime politique interposé supposé liberticide, qui mourrait de faim voilà moins d’un siècle et que, malgré ça, n’a jamais envahi un autre pays et ce, à l’occasion d’une manifestation internationale de haute portée d’entente humaine regroupant la jeunesse sportive mondiale avide de faire connaissance avec ce pays et de vivre des moments de gaieté, dans un monde d’agressivité et de tumultes épouvantables, où, de plus, on acclame, hélas, le Président français pour avoir eu « le courage » - en vérité pour se faire valoir personnellement aux yeux du président américain Bush - d’envoyer de jeunes Français tuer et mourir en... Afghanistan, pour le soi-disant motif de l’antiterrorisme international - un fourre-tout mais à double fond - ainsi que, assurent-ils, d’instaurer la liberté et la paix qui, cependant, tardent à s’instaurer dans ce dit pays et ailleurs. Pourquoi ?

La dernière rencontre du NATO, reportant, à la suite de combines sournoises Euro-USA, l’adhésion de la Géorgie et notamment l’Ukraine qui fut pourtant encouragée et choyée pour sa jeune démocratie, démontre, on ne peut mieux, les interactions d’intérêts et préférences géostratégiques pouvant aller jusqu’à sacrifier leurs soi-disant alliés du jour, pour configurer ceux de demain. Et ainsi de suite, sauf pour Israël. Pourquoi ? A ce titre, la Russie est sortie satisfaite de cette rencontre - et comment ne le serait-elle pas ? - alors que la « démocratie orange » s’est bien ternie, esseulée. On abat bien les chevaux européens de la liberté, à l’autel des impénétrables et sombres calculs d’intérêts ligués aux impératifs géopolitiques et économiques mondiaux. Dont justement anti-chinois !

La Chine contemporaine n’a jamais été un exemple de démocratie, loin de là , encore moins disposée à la pratiquer selon la liberté de pensée occidentalisée et ses mécanismes originels. Ceci, pour la simple raison que la nature du régime actuel - en transition hybride laborieuse - et la société en émergence post-communiste en frayeur, dans son ensemble, ne peuvent pas la réaliser rapidement comme un Cartoon ou le temps de préparation d’un hamburger. Car la Chine d’hier en tenue shanghaie, c’est celle d’aujourd’hui en costume et cravate, et, que peut-être demain...

Quand la nouvelle Chine se réveillera réellement et complètement de sa somnolence post-communiste, elle aurait alors certainement un autre habillage. Une cuirasse démocratique infranchissable, pour ainsi dire, comme sa Grande Muraille. Et pour de bon ! En attendant, les survivances de l’idéologie communiste restent plus ou moins tenaces, dans certaines états d’esprits et contrées rurales de ce vaste pays aux différentes et innombrables peuplades du Nord jusqu’au Sud, mais qui sont en train de se raréfier de plus en plus et ne sont plus prépondérantes sur l’évolution de la société chinoise, notamment de sa jeunesse. Alors, d’ici là , de vouloir prétendre à la comparer aujourd’hui, et en plus avec arrogance, à celle du nazisme - bien qu’elles appartiennent à la même « matrice » mais différentes en objectifs - cela relève du fantasme « gammée », mais que certains penseurs, pourtant bien nés et cultivés, sont en train de se le transmettre, médiatiquement, en petits groupes bien triés sur le volet, notamment dans l’Hexagone en face de nous, n’hésitant pas à amalgamer ces jeux du 21ème siècle à ceux organisés en Allemagne hitlérienne des années 1930. Toute une paranoïa se propageant vraisemblablement - sinon ferait plaisir aux détracteurs de la Chine - depuis les hauts salons feutrés et d’affaires tordues de New York, relayés par ceux braillards de l’ancienne Europe. C’est vraiment de la pure absurdité. Si c’était du temps de Mao dit le Timonier, et encore, cette galéjade aurait pu, peut-être, avoir un semblant de crédit. Mais dans le contexte d’aujourd’hui, c’est bel et bien du delirium tremens politicard d’un autre temps. Un piège minable et une morgue détestable.

N’étant nullement attiré, ni de près ni de loin, dans le giron de cette idéologie qui a montré ses limites et ses affres en tous genres, encore moins dans celle du national socialisme abominable, plus que tout autre idéologie totalitaire qu’a connue l’humanité, du simple fait de ses horreurs commis notamment sur le peuple d’Israël, à cause des propagandes qui avaient leurré aussi le peuple algérien et qui, justement, ont été menées à tort et à travers par les vichystes et autres collabos dont certains juifs et autres caïds, bachaghas ainsi que par des dits valets de l’administration coloniale... mais qu’en revanche, et, par pure raison et objectivité morale, il faut bien reconnaître, de par les ambiguïtés arrogantes qui entourent les relations de certains pays avec la Chine, que les motifs de cette histoire de Tibétains, asservis dans leur propre contrée, dépassent les bornes de... l’Himalaya ; bien que la communauté tibétaine doive être, d’abord, protégée des dangers d’ambitions démesurées et de dissensions internes « géo-génétiques », car c’est de l’hitlérisme net, que des cris de sirènes externes ne la menant nulle part. Car, en fin de compte, il ne s’agirait que de ballons-sondes pour tester les réactions officielles de la Chine, ainsi que celles des opinions publiques de certains pays, dont principalement la France et les USA. Tout récemment, le président français a même accéléré le champignon dans ce sens. Comme pour l’Afghanistan. Les USA sont aux aguets. Comme d’habitude. Donc, tout compte fait, ce n’est qu’une « chinoiserie » bien orchestrée depuis bien longtemps, à la hauteur de cette grande nation. En fait, une olympiade politique !

Ceci dit, et qui reste d’actualité, nous souhaitons à tous les sportifs et la jeunesse du monde d’avoir du bon plaisir lors de leur séjour dans la capitale des mille paradoxes, et, pour les convaincus de la cause tibétaine, qu’ils aient à l’esprit - nous l’espérons - qu’il existe d’autres persécutions non médiatisées et viols flagrants des droits de l’homme ailleurs. Et qu’ils manifestent, enfin, leur mécontentement dans la durée et dans le civisme démocrate et humaniste qu’ils portent, en principe, sincèrement en eux, contre toutes les forces mystificatrices et fascisantes vulgarisant pêle-mêle les tensions préjudiciables pour la paix dans le monde, et ce, d’où qu’elles viennent et partout où elles se trouvent. Partout ! Il est utile d’ajouter - de rappeler pour ainsi dire - que les lobbys d’intérêts obscurs et obscurantistes, ne seraient nullement préoccupés par ceux de la communauté tibétaine menacée par le mauvais dragon chinois, encore moins attristés par les « souffrances » du dalaï-lama tout aussi charismatique qu’il l’est, aussi bien en Chine que... en Inde. Pour le moment, tout ce tintamarre vise à stimuler les Tibétains, notamment se trouvant à l’intérieur de la Chine, pour maintenir la pression afin de piéger le régime en place avant les jeux Olympiques. Le tout, connecté aux ambitions inassouvies de la grande zaouïa, en l’occurrence la Maison-Blanche aux USA, qui continue de mystifier sans vergogne les opinions publiques de tous les pays, se positionnant comme le centre du monde, et s’autoproclame garante, à l’image d’un totem pour une tribu indienne, du sort de la planète. Rien que ça !

Enfin, et dans tous les cas de figure d’une éventuelle solution autonomiste de la communauté tibétaine, cela resterait fondamentalement un casse-tête typiquement chinois. Celui du rationalisme confucéen. Exclusivement !

Le Quotidien d’Oran

*zaouia http://fr.wikipedia.org/

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