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Législatives : la fin de l’état de grâce, La Riposte.








La Riposte, lundi 18 juin 2007.


Le deuxième tour des élections législatives a donné aux partis de droite une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Forts de leur contrôle de l’Elysée et du Parlement, l’UMP et ses alliés vont, dès le mois de juillet, engager de graves attaques contre les droits et les conditions de vie de la vaste majorité de la population : limitation du droit de grève, casse de l’université publique, mise en place de « franchises » médicales, etc. Avec une rapacité décuplée par la victoire de ses représentants, la classe capitaliste exigera de Sarkozy et du gouvernement Fillon qu’ils aillent vite et frappent fort.

Cependant, les résultats des élections de dimanche ont crevé le nuage d’euphorie sur lequel vivaient la droite et la classe dirigeante. Non seulement la « vague bleue » annoncée par tous les grands médias et instituts de sondages n’a pas déferlé, mais le deuxième tour indique une égalité de voix entre la droite et la gauche, les deux camps en cumulant chacun un peu plus de 10 millions. Au passage, on ne peut que savourer la défaite d’Alain Juppé, qui n’a même pas eu le temps de promener son arrogance dans tous les recoins de son « grand ministère ». (...)

- Lire l’ article www.lariposte.com




L’usine à gaz Sarkozy, par Michel Husson.


Le timing de Sarkozy-Fillon : contrat unique de travail et laminage du droit de grève, par Vincent Présumey.






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En conscience je refuse d’obéir. Résistance pédagogique pour l’avenir de l’école, Alain Refalo
Alain REFALO
Le manifeste des enseignants désobéisseurs : un ouvrage qui dénonce la déconstruction de l’école de la République. « Car d’autres enseignants (…) ont décidé de relever ce défi de la lutte contre la déconstruction de l’école publique. Ils sont entrés en résistance, sans se payer de mots inutiles. Une résistance radicale, mais responsable. Une résistance transparente et assumée. Pour que le dernier mot de l’histoire n’ait pas la couleur de la désespérance. » Des îlots de résistance - (…)
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Si un homme blanc veut me lyncher, c’est son problème. S’il a le pouvoir de me lyncher, c’est mon problème. Le racisme n’est pas une question d’attitude ; c’est une question de pouvoir. Le racisme tire son pouvoir du capitalisme. Donc, si vous êtes antiraciste, que vous en soyez conscient ou non, vous devez être anticapitaliste. Le pouvoir du racisme, le pouvoir du sexisme, vient du capitalisme, pas d’une attitude.

Stokely Carmichael

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