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Paru dans le forum de "l’imparfait de la philosophie"

Aux fondements de la pensée

Le Mal Pensant

Les pratiques sexuelles des personnes qui n’aiment pas certaines rubriques du grand soir, en particulier celle qui a pour nom "les mots qui le disent", sont assez curieuses. L’honorable lecteur qui a mis dans le forum de l’imparfait de la philosophie les quelques lignes qui suivent en est un parfait exemple. Adepte de l’amour avec partenaires multiples, un peu SM sans doute, brutal probablement, doté d’une conception quelque peu archaique de l’homosexualité, propre aux hétéros qui entament leur vie sexuelle en avalant du Viagra (TM) à poignée, le Mal Pensant, comme il s’appelle, est un animal courant de nos jours.

Nous aurions aimé pouvoir l’initier à des jeux érotiques plus subtils, faits de douceur, d’abnégation et de tendresse, où le plaisir et la jouissance sont des compagnons d’oreiller fidèles, seul ou à plusieurs. Mais outre le fait que nous sommes un peu impressionnés par le compagnonage qu’il s’est choisi, il se trouve que le Grand Soir, un canard, certes, n’est pas pour autant zoophile.

Nous ne nous offrirons donc aujourd’hui que le plaisir innocent et dérisoire, quoique mesquin et indigne de notre foi en l’humanité, du voyeurisme. L’arrière train conceptuel du Mal Pensant est donc proposé ici à qui veut l’ausculter. Nous recommandons toutefois pour ceux qui voudraient aller plus loin, une vigilance de tous les instants, et l’indispensable concours de la voirie.

Alain Finkielkraut, BHL, Michel Houellebecq, Maurice G. Dantec, beaucoup d’autres et moi-même vous "mictionnons" tous allègrement à la raie !

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1914-1918 La Grande Guerre des Classes
Jacques R. PAUWELS
Dans l’Europe de 1914, le droit de vote universel n’existait pas. Partout, la noblesse et les grands industriels se partageaient le pouvoir. Mais cette élite, restreinte, craignait les masses populaires et le spectre d’une révolution. L’Europe devait sortir « purifiée » de la guerre, et « grandie » par l’extension territoriale. Et si la Première Guerre mondiale était avant tout la suite meurtrière de la lutte entre ceux d’en haut et ceux d’en bas initiée dès 1789 ? C’est la thèse (…)
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[Jusqu’à présent] le savoir a toujours coulé vers le haut, vers les évêques et les rois, jamais vers les serfs et les esclaves.

Julian Assange

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