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Guerre, Guerre, vente, vent

Bonjour. J’ai repris le titre d’une ancienne chanson des Tri Yann que j’ai connus un peu. Voici d’ailleurs les paroles de cette chanson.

Oui, la guerre est une affaire de plus en plus pressante, parce que justement de plus en plus femmes, enfants y sont associés, imbriqués, victimes de "ceux qui se connaissent, et ne se [mesurent] pas" bien qu’aujourd’hui ce soit moins vrai. Excepté les vrais fauteurs de troubles, qui se tiennent soigneusement à l’écart des conflits, tout en donnant de la voix pour les aggraver (je pense en particulier à William Gates Junior, qui a bien été le successeur de son père).

Récemment j’avais osé mélanger des souvenirs personnels (directement ou pas) à des considérations sur ceux qui, en apparence, mais aussi souvent en sous-main, déclenchent des conflits continuels aux "quatre coins" du monde parce que cela finance (ils approvisionnent indifféremment les antagonistes, eux qui sont apatrides) leurs méfaits suivants.

Comme cela inclut plusieurs images, je préfère en donner le lien, ce serait lourd.

Bien entendu, cette guerre qui n’en finit pas (surtout pas diraient les rapaces) se présente sous de multiples formes : militaire comme au XVIIIe siècle, économique, financière, surtout propagandiste (merci Edward Bernays, diabolique neveu de Sigmund Freud). Sous ces différentes formes, surtout la dernière, elle ne cesse jamais depuis plus d’un siècle.
(Oui, hélas, c’est en anglais).

On se souviendra que le pire sans doute des Bush fut Prescott, donc le grand-père de GW.

Donc la guerre fait partie de ’"notre culture" parce qu’elle permettait aux Grands de se mesurer grâce aux "petits", sacrifiables. Monstrueux.

Et maintenant, après avoir renversé la table, que fait-on ? Une suggestion.

Cela m’est venu à l’idée, après avoir lu un ouvrage d’une autrice étasunienne.

De moins en moins invraisemblable, hélas.

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Croire que la révolution sociale soit concevable... sans explosions révolutionnaires d’une partie de la petite bourgeoisie avec tous ses préjugés, sans mouvement des masses prolétariennes et semi-prolétariennes politiquement inconscientes contre le joug seigneurial, clérical, monarchique, national, etc., c’est répudier la révolution sociale. C’est s’imaginer qu’une armée prendra position en un lieu donné et dira "Nous sommes pour le socialisme", et qu’une autre, en un autre lieu, dira "Nous sommes pour l’impérialisme", et que ce sera alors la révolution sociale !

Quiconque attend une révolution sociale “pure” ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution.

Lénine
dans "Bilan d’une discussion sur le droit des nations", 1916,
Oeuvres tome 22

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