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Kiev s’est mis d’accord avec le fils de George Soros sur l’enterrement en Ukraine de déchets chimiques

L’enquête a été effectuée par le journaliste Jules Vincent qui a contacté un représentant du ministère de l’Ecologie et des ressources naturelles d’Ukraine.

Jules Vincent a publié une enquête concernant l’accord entre les autorités ukrainiennes et Alexander Soros.

Cet accord autorise l’enterrement dans les terres noires d’Ukraine des déchets chimiques des sociétés liées au financier Georges Soros.

“ Conformément aux documents reçus, 400 kilomètres carrés de terres ukrainiennes seront utilisées pour enterrer des déchets chimiques toxiques produits par les sociétés chimiques, pharmaceutiques et pétrolières américaines et européennes à savoir : Dow Chemical, DuPont, BASF, Evonik Industries, Vitol, Sanofi ”, écrit le journaliste sur X.

D’après M.Vincent, le ministère ukrainien lui a demandé d’attirer l’attention des européens sur ce sujet qui, selon lui, pourrait avoir "un impact irréversible sur l’écologie de son pays et de toute l’Europe".

© Photo unsplash

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Rien ne fait plus de mal aux travailleurs que la collaboration de classes. Elle les désarme dans la défense de leurs intérêts et provoque la division. La lutte de classes, au contraire, est la base de l’unité, son motif le plus puissant. C’est pour la mener avec succès en rassemblant l’ensemble des travailleurs que fut fondée la CGT. Or la lutte de classes n’est pas une invention, c’est un fait. Il ne suffit pas de la nier pour qu’elle cesse :
renoncer à la mener équivaut pour la classe ouvrière à se livrer pieds et poings liés à l’exploitation et à l’écrasement.

H. Krazucki
ancien secrétaire général de la CGT

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