RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

La grande arnaque

Pour l’intérêt de la raison, il faut garder à l’esprit que tous les documents attestant d’une ou plusieurs injection (s) délivrés par les autorités sanitaires en tant que sauf-conduit sont des faux grossiers et ne peuvent en aucun cas être considérés comme une quelques preuve d’une immunisation contre le SARS-COV-2.

De ce fait, l’adaptation du droit visant à criminaliser ce qui est considéré comme un faux passe sanitaire est non seulement une aberration totale mais une absurdité, puisque dans ce cas de figure précis, c’est l’Etat qui devient de jure et de facto le premier faussaire avec une position de monopole.

En 2021, les États ne sont plus que des appareils d’exécution et n’ont plus aucune forme de souveraineté. Ce sont au mieux des outils de contrôle sociétal disposant d’un outil militaire à la guise d’instances supra-nationales et même non-étatiques. Le prétexte COVID a mis à nu l’obsolescence de l’État-nation et a confirmé la montée en puissance d’autres pôles de puissances disposant d’un contrôle sur les ressources monétaires, financières et les commodités de base au niveau mondial.

Une violation de la loi pour un faux passe sanitaire n’est pas applicable pour un individu. C’est le fait de l’État et à ce titre c’est à lui d’assumer la responsabilité ou plutôt l’irresponsabilité de son acte. Poursuivre des individus pour un supposé faux passe sanitaire qui n’existe pas est d’une absurdité digne d’Ubu. C’est même un contre-sens. Mais dans le monde dans lequel nous vivons, l’absurde est érigé au rang d’un culte au service de la nouvelle relique pro-vaccinal (rappel sanitaire : les injections biochimiques anti-COVID ne sont pas, au sens strict, de vrais vaccins).

Des fonds souverains investissent dans ces vaccins pour des raisons économiques comme d’autres pays attirent des étudiants et leur donnent de vrais faux diplômes pour gonfler leur PIB ou affûter leur “Soft Power”. Cependant, des grosses multinationales comme Pfizer ont des enjeux infiniment plus grands. Ils préconisent déjà un abonnement vaccinal trimestriel (et bientôt bimensuel) sous peine d’annulation du sauf-conduit piège à gogos. La fin justifie toujours les moyens.

Affirmer quelques constats est passible d’une accusation de complotisme. Un terme fourre-tout que n’importe qui peut brandir de nos jours. Personne n’y échappe sauf si on est Bill Gates, Klaus Schwab, George Soros ou d’autres magnifiques philanthropes qui ne pensent qu’au bien-être et le bonheur de l’espèce humaine.

Heureusement que nous profitons tous des lumières de leurs esprits supérieurs et misanthropes sinon on finira par se dévorer les uns les autres comme dans un mauvais film de série Z.

Force de loi ne laisse que très peu de marge de manœuvre à un individu dressé dès son enfance à obéir aux lois et aux institutions comme le pauvre chien de Pavlov. Et puis il y a d’autres individus qui, sans jamais avoir versé dans la criminalité ou la rébellion, sentent depuis leur enfance qu’ils n’ont jamais vraiment intégré le moule ; qu’ils ne sont pas fait pour “ça”. Certains font semblant de se conformer au normatif imposé. D’autres imitent Diogène le cynique avec des fortunes diverses et non sans casse. C’est au cas pas cas et selon le contexte et les circonstances. Peu en sortent indemnes du rouleau compresseur du conformisme barbare et rigide qui caractérise certaines sociétés artificielles en Europe et ailleurs. C’est la faille que les nouveaux profiteurs de la crise COVID veulent éliminer par la mise en place d’une double contrainte et une coercition juridique, sociétale et environnementale.

Dans ce cas là, il ne s’agit plus d’être pour ou contre car c’est un débat réducteur et faussé mais de connaître l’ampleur de l’ingénierie sociale du chaos et son dessein. C’est un cas d’école inédit que les Saint-simoniens auraient approuvé et applaudi des deux mains et des deux pieds, cousins rapprochés des chimpanzés qu’ils furent, au nom du “progrès” de la “race humaine” (réduite à un seul type à l’époque même si les individus blonds aux yeux clairs appartenant à d’autres sphères civilisationnelles se faisaient trucider comme barbares ou nouveaux Huns).

Nous vivons une immense arnaque doublée d’une escroquerie inqualifiable. Le réveil sera très dur pour la plupart d’entre-nous.

Le faux n’est pas celui que l’on croit. La vérité est ailleurs.

»» https://strategika51.org/2021/12/15/la-grande-arnaque/
URL de cet article 37614
   
Les Chinois sont des hommes comme les autres
Maxime VIVAS
Zheng Ruolin (Ruolin est le prénom) publie chez Denoël un livre délicieux et malicieux : « Les Chinois sont des hommes comme les autres ». L’auteur vit en France depuis une vingtaine d’années. Son père, récemment décédé, était un intellectuel Chinois célèbre dans son pays et un traducteur d’auteurs français (dont Balzac). Il avait subi la rigueur de la terrible époque de la Révolution culturelle à l’époque de Mao. Voici ce que dit le quatrième de couverture du livre de ZhengRuolin : (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« Nous préférons croire au mythe selon lequel la société humaine, après des milliers d’années d’évolution, a finalement créé un système économique idéal, plutôt que de reconnaître qu’il s’agit simplement d’une idée fausse érigée en parole d’évangile. »

« Les Confessions d’un assassin financier », John Perkins, éd. Editions Alterre, 2005, p. 247

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.